Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Fin Novembre 2008 N° 25
Le 3 décembre, 1 abstention = 1 voix pour le patronat !
PROMESSES : 3 bis, rue des Batteries – Après plus de 6 mois de lutte, les ex-Griallet sont en passe de réunir les 19 « promesses d’embauche » qui, selon la Préfecture, manquaient aux demandes de régularisation. De même, ils devraient toucher dans les prochains jours la totalité des salaires dus depuis le 22 mai. Le 8 décembre, une délégation sera reçue en Préfecture pour les grévistes de Plus-Net : la remise des dossiers Griallet pourrait suivre. Quant aux intérimaires du Livre, une partie d’entre eux a déjà bénéficié de régularisations en novembre.
EN-TEMPS ANTI-SOCIAL : 40-42, Boulevard Paul Vaillant Couturier – Les travailleurs sociaux de l’Association En-Temps sont aux prises avec un plan de licenciements…approuvé par les élus CFTC du Comité d’Entreprise ! Sans doute ces chantres du « pouvoir s’opposer » voteront-ils aussi la tentative de licenciement pour faute du délégué CGT Remy TAUPIN, accusé d’avoir signalé la plainte d’une gamine pour atteinte sexuelle ?
CHEZ LIDL, L’IDEAL C’EST LA GRÈVE !: 284, rue de Rosny et 2, avenue Pierre Brossolette – Les salariés des 2 magasins LIDL de Montreuil avaient décidé la grève pour le 29 novembre au matin. Panique chez la direction, qui s’est précipitée pour satisfaire les revendications sur les conditions de travail, le paiement des heures supplémentaires et l’annulation des mutations-sanctions qui venaient de tomber.
BIENVENUS CHEZ LES STI: 1 ter, rue du Marais – L’entreprise SERV TRAYVOU INTERVERROUILLAGE (STI) croyait avoir découvert le procédé pour verrouiller les élections des délégués du personnel : convoquer les candidats en vue… d’un licenciement économique ! Le personnel a trouvé la ficelle un peu grosse et s’est mis en grève le vendredi 28, histoire de huiler le dialogue social… voire judiciaire !
ASD CONDAMNÉ EN RÉFÉRÉ : 155, rue de Rosny – L’entreprise de bâtiment ASD pensait pouvoir recruter gratis. Scandalisée par ces pratiques, une cliente adressait 2 des salariés qui travaillaient sans salaire sur son chantier, à la CGT. Le 28/11, le Conseil des Prud’hommes de Bobigny vient d’ordonner le paiement par ASD de 11 680,70 € aux 2 ouvriers. Alors le 3 décembre, qu’est-ce qu’on fait ?
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