Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Avril 2008  N° 13

« Il y a des petits qui veulent tout rapetisser à leur image»

FACTEUR DE COLERE : 44, Boulevard Rouget de l’Isle – Rien ne va plus chez les facteurs depuis le lancement de la restructuration subtilement baptisée « facteur d’avenir »… Augmentation des cadences de travail, dégradation de la santé, des salaires qui n’évoluent pas, des primes ventilées de façon arbitraire, absence de perspectives professionnelles… La boîte est pleine ! Les facteurs ont donc décidé, avec la CGT et SUD, de « bouger La Poste » : une assemblée est programmée le mardi 15 avril à la Bourse du Travail de Montreuil.

MONOPRIX-RESISTANCE : 19, Avenue de la Résistance – Le Monoprix de la résistance mérite décidément bien son nom avec un nouvel arrêt de travail du personnel programmé le 11 avril pour les salaires et les conditions de travail. La direction a bien tenté de saboter la mobilisation en déclenchant son plan anti-grève… mais avec un jour d’avance sur la grève ! On comprend mieux pourquoi la direction peine tant à établir un calendrier de négociations !

SOLDES CHEZ DARCOS, 3ème DEMARQUE : La mobilisation des enseignants, lycéens et collégiens du département contre la suppression de 700 postes à la rentrée 2008 (11 000 dans toute la France, 80 000 d’ici 2012) s’amplifie à Montreuil. Partie des lycées Condorcet, Eugénie Cotton et Horticole, elle concerne à présent la quasi-totalité des lycées de Montreuil et s’est étendue, depuis le 10 avril, aux écoles primaires de la Ville. Le ministre Darcos, auteur d’un savoureux « L’art d’apprendre à ignorer », pourra-t-il ignorer l’ampleur du malaise ?

NE BOUDONS PAS NOTRE PLAISIR !: 8, Rue Saint-Just – A l’ESAT Pierre BOUDET, le personnel n’a pas boudé les urnes le 7 avril. La liste CGT obtient 19 voix sur 21 votants et 23 inscrits : L’UL CGT salue l’élection de Corinne et d’Yvette comme nouvelles déléguées !

ECHALIE N’AIME PAS L’HARISSA : 70/74 Rue des Roches – ECHALIE, grossiste en fruits et légumes secs, s’est lancé dans une procédure qui ne manque pas de piquant. Responsable des achats au sein de la société, Nasim EL ABED est sous la menace d’un licenciement pour s’être renseigné sur les tarifs du harissa… Délégué sans étiquette, mais défendu par la CGT, Nasim vient de remporter une première victoire : l’Inspection du Travail a rejeté la demande de licenciement, exigé son retour au travail et l’arrêt de la procédure.

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