Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Avril 2015  N° 196

« Pour ma retraire, j’AGIRC ! » 

SOUVENT PRIME VARIE… : rue des Lumières – Chez ORANGE, si les Parts Variables Vendeurs (PVV) versées mensuellement sont bien prises en compte dans le calcul des congés payés, les primes variables trimestrielles, quadrimestrielles et semestrielles des managers étaient, depuis 2005, exclues de l’assiette. C’est ce qu’ont contesté devant les tribunaux 3 cadres de la CGT qui obtiennent, au terme d’une procédure de plusieurs années, la condamnation définitive d’ORANGE, en sus de l’ouverture de négociations sur les rappels d’indemnités et l’extension de cette mesure aux fonctionnaires. La CGT ne s’estime pas quitte pour autant, qui réclame notamment que les filiales ORANGE, telle NEOCLES à Montreuil, bénéficient également de cette décision.

LE 9 POUR FAIRE DU NEUF: place Jean Jaurès – C’est devant la MAIRIE que la manifestation interprofessionnelle a commencé à Montreuil, pour se rendre vers Croix de Chavaux aux cris de « Pas d’quartier pour l’austérité, pas d’austérité dans nos quartiers », avant de se joindre au cortège parisien. Au total, une vingtaine d’entreprises étaient touchées par la grève, ainsi qu’une dizaines d’écoles de la localité, avec des syndicats qui construisent des prolongements à la journée du 9, comme l’AFPA, qui prépare une nouvelle mobilisation pour le 22 avril prochain.

LA CGT DANS UN FAUTEUIL : 240, rue de Rosny – QUINETTE-GALLAY RENAISSANCE, le fabricant de sièges de cinéma qui avait succédé à la liquidation de QUINETTE-GALLAY, n’avait plus de représentation légale du personnel par suite du changement de statut. Une nouvelle élection de la future DUP a donc été programmée pour le 24 avril, avec des listes CGT complètes dans les 2 collèges qui viennent d’être déposées… sans concurrence, il est vrai, depuis que nos camarades ont, par eux-même, permis le sauvetage de l’entreprise il y a un an.

.

SUBWAY MAIS PAS SUBIR: 235, Etienne Marcel – A l’enseigne SUBWAY, la société FOODYS oubliait de payer à ses employés polyvalents l’indemnité d’habillage-déshabillage, celle de blanchissage, la prime annuelle conventionnelle, les remboursements des titres de transport… quand ce n’était pas les heures travaillées ! Défendus par la CGT, Basile ZUMER et Sam MEPIAYE viennent de recevoir le jugement prud’homal condamnant l’établissement à honorer ses obligations outre le paiement, pour chacun des demandeurs, de 500€ de dommages-intérêts pour le non-respect de la convention collective de la restauration rapide.

LES LEÇONS DE L’EXPÉRIENCE : 24, boulevard Paul Vaillant-Couturier – Plusieurs fois condamnée, l’Association RUES ET CITÉS avait finalement pris le chemin de la négociation collective afin de régulariser les horaires des éducateurs encadrant des séjours de jeunes. Seule organisation syndicale représentative au sein de la structure, la CGT vient de signer un « Accord expérimental sur l’aménagement du temps de travail » valable jusqu’en mars 2016, destiné à permettre la poursuite des séjours pédagogiques, dans le respect des droits des travailleurs sociaux… au repos et à être payés.

Imprimer

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.