Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Mai 2014  N° 167

« Les cotisations patronales en moins, c’est le Pactole de Responsabilité du MEDEF »

STYLE RENAISSANCE : 240, rue de Rosny – QUINETTE-GALLAY, désormais repris par le groupe japonais KOTOBUKI, va changer de nom pour devenir QUINETTE GALLAY RENAISSANCE et pourrait déménager rapidement boulevard Chanzy à Montreuil, dans les locaux de l’usine Dufour. Des transformations qui n’empêchent pas la section CGT de maintenir la pression sur le nouveau mandataire, Me MOYRAND, en charge de clôturer la procédure, en exigeant des reclassements internes sur les postes de travail rendus disponibles par des départs volontaires.

PARATONNERRE : 15-18, rue Franklin – L’hôtel à l’enseigne de l’inventeur du paratonnerre votait ce mois de mai pour renouveler ses délégués du personnel. C’est ainsi que sur les 18 salariés de l’hôtel FRANKLIN et les 15 votants, 14 voix sont allées dès le 1er tour à la liste CGT de notre camarade Nehza BOUCHENAK, réélue à 100% avec une participation de 83%… à faire rêver les candidats aux Européennes. En tout cas, le personnel de l’hôtel sait comment protéger ses droits !

BONNES NOUVELLES POUR LA NVO : 263, rue de Paris – La direction de la « NVO » avait cru bon de contester devant les tribunaux l’expertise votée par le CHSCT sur les risques psycho-sociaux engendrés par les restructurations. Victoire de la CGT devant le TGI de Bobigny qui, par ordonnance, donne raison aux élus du personnel ! Un succès qui s’accompagne pour le syndicat d’un vote du CCN de la CGT pour le maintien du journal papier et son refinancement… contredisant clairement le projet mortifère de la direction du journal.

TRAVEL ET TRAVAIL : 63 bis, rue Ernest Savart – LIBERTY TRAVEL, la nouvelle enseigne de TRANSPORTS OXYGENE vient de connaître un nouveau revers devant le Conseil de Prud’hommes de Bobigny. Il y a 2 ans, l’entreprise avait licencié notre camarade Soumaila DOUCOURE alors qu’il était en accident du travail suite à une agression : un licenciement qui a donc été jugé nul, avec en conséquence sa réintégration avec effet rétroactif depuis juillet 2012.

Imprimer

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.