Les 7 et 8 mars, les personnels de l’EDUCATION NATIONALE, ceux notamment des collèges et lycées de Montreuil, étaient en grève pour un plan d’urgence départementale. Profession féminisée, profession paupérisée, l’enseignement connaît une maltraitance institutionnelle avec le « choc des savoirs » et les groupes de niveaux dans un contexte de suppression de postes et d’austérité salariale. Sans surprise, la grève du 7 a été reconduite dans la plupart des établissements le 8 pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
Imprimer

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.