Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début septembre 2013  N° 138

« 60 ! Respectez la limitation de vieillesse ! »

CONTRATS LOW COST : 59, rue de La République – Chez BNP-PARIBAS, la direction a sommé cet été ses salariés expatriés à La City de Londres, de choisir entre le retour en France ou un contrat de droit anglais, avec 4 petites semaines pour réfléchir. Une centaine d’entre eux, soutenus par la CGT, s’est aussitôt constituée en Collectif des Expatriés de Londres, pour exiger la suspension de la procédure en cours et la tenue d’une réunion exceptionnelle du CE à leur sujet. Réunion que vient d’obtenir l’Intersyndicale, programmée pour le 16 septembre prochain.

ACTOM OU LA POURSUITE INFERNALE : 155-157, rue de Rosny – 3ème refus d’autorisation de licenciement pour Rédouane NEBZRY et Patrick LEGOFF, les deux délégués CGT d’ACTOM. Furieux, l’employeur profite de l’été pour déménager ses bureaux à Bourg-la-Reine sans prévenir quiconque, puis re-convoque nos 2 camarades en vue d’une nouvelle procédure. L’acharnement de l’employeur préfigure vraisemblablement la 4ème édition du scénario inauguré à Montreuil : une réunion sans consultation, portant sur des motifs économiques inexistants !

EMPLOI SINGULIER : 283, rue de Rosny – Chez STRICHER, où la CGT pointe depuis longtemps les besoins d’embauche, notamment en mécanique, la direction vient de convoquer pour le 12 septembre une négociation en vue d’un accord collectif « relatif au contrat de génération ». Un singulier qui inquiète déjà la section CGT, demandeuse de bien plus qu’un unique contrat de génération…

PEARSON N’EST PARFAIT : 15, rue Henri Rol-Tanguy – L’éditeur PEARSON France voulait se débarrasser de notre camarade Kim MULLER, délégué du personnel accusé de ne pas respecter des horaires collectifs (ne s’appliquant qu’à lui-même) et d’avoir « joué en ligne pendant le travail ». L’enquête de l’Inspection du Travail, relevant que la réalité des faits n’est pas établie, ni en tout état de cause recevable en regard des délais de prescription, l’autorisation de licenciement a été refusée !

AREPA ET ÇA RÉPARE : 33, rue Lenain de Tillemont – A l’AREPA (Association de Résidences pour Personnes Âgées), Madame OUATTARA comptabilisait 95 CDD successifs comme agent de soins depuis 2007. Déclarée en « fin de contrat » en mars dernier, elle avait saisi les prud’hommes avec la CGT : lors de l’audience de jugement du 5 septembre dernier, l’AREPA a finalement plié et accepté de la réintégrer sur le champ avec rappel de salaires, redoutant une condamnation quasi assurée.

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