Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Mi-Septembre 2013  N° 139

« Pôle-Emploi, plutôt que retraité ? T’as de beaux vieux, tu sais… »

DÉCLARATION DES DOUANIERS : 11, rue des Deux Communes – La Douane s’interroge sur son avenir face à la fonte des effectifs et à la centralisation de ses missions. Le 18 septembre, l’intersyndicale CGT, CFDT, FO, USD, UNSA et Solidaires tiendra les Etats Généraux de la Douane au Palais d’Iéna pour exiger les moyens nécessaires : pour la sécurité des consommateurs, les recettes fiscales et contre le dumping social et environnemental des entreprises.

 

TRANSMISSION BANCAIRE : 59, rue de La République – La CGT de BNP-PARIBAS signera l’accord sur les contrats de génération, pour dire OUI à la solidarité intergénérationnelle. Le syndicat prend acte des objectifs de recrutement et se félicite des avancées obtenues pour les salariés-tuteurs, dont les missions et le temps consacré à la transmission des savoirs seront désormais pris en compte. De même, l’accord prévoit le suivi de l’intégration des jeunes au-delà des formations qualifiantes.

LE BŒUF A 6 URNES : 235, rue Etienne Marcel – Le restaurant LE BŒUF A SIX PATTES de la Grande Porte doit se doter de délégués du personnel. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, s’est dit le groupe FLO, propriétaire de la chaîne ? L’élection concernera donc 3 restaurants : ceux de Montreuil, de Gif-sur-Yvette et de Villeneuve-le-Roi… avec convocation des organisations syndicales à Nanterre. Les 4 coins pour les 6 pattes !

RANGEMENT DÉRANGEANT : 16, rue des Bons Plants – Au foyer APAJH, le local syndical était partagé avec une partie de l’activité professionnelle en direction des autistes. Situation encore trop privilégiée au goût de la directrice : profitant d’un congé de notre camarade Daouia AZIB, celle-ci a décidé d’un « rangement » consistant à fracturer l’armoire et à subtiliser l’ensemble des documents… à l’exception des attestations qu’elle avait fait établir contre la CGT. Un acte signé, qui conduit la section CGT à exiger la remise en état immédiate des locaux.

ACTUDES, DERNIER ACTE ? : 14-18, rue Kléber – Les 39 salariés d’ACTUDES INTERVIEWS, laissés sur le carreau il y a plus d’un an par suite de la mise en liquidation judiciaire de leur entreprise, se retrouvaient jeudi dernier pour la 3ème fois devant le Conseil de Prud’hommes de Bobigny, aux fins d’obtenir la requalification de centaines de CDD en CDI… et les droits en découlant. Surprise : après une année de guéguerre procédurale, les avocats de la partie adverse ont fini par donner raison à la CGT, ne contestant plus « que » le montant des dommages et intérêts réclamés.

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