47, avenue de la Résistance – Le siège d’EMMAÜS était interpellé le 20 décembre dernier par la quarantaine de grévistes venus de Saint-André-lez-Lille (59) pour dénoncer l’esclavage subi au sein de la communauté Emmaüs qui profite sans vergogne de leur travail sans papier, avec des semaines de 40 heures payées 150€ par mois. Accompagnés par l’UL-CGT de Montreuil, ils se sont une nouvelle fois heurté à une fin de non-recevoir des dirigeants de l’association, alors que leur surexploitation était censée favoriser une aide à leur régularisation administrative. EMMAÜS sert-il de banc d’essai aux effets futurs de la Loi Immigration à peine votée ? 

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