Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Fin Mai 2013 N° 130
« Moins de 3% des Français disposent d’une piscine d’intérieur ; 99% savent qu’il faut la remplir avant d’y plonger »
LA DÉMOLITION EN REDRESSEMENT : 254, boulevard de La Boissière – La Démolition Technique (LDT) vient d’être placée en redressement judiciaire le 16 mai, par le Tribunal de Commerce de Bobigny. Face à l’inquiétude légitime des 80 salariés de cette entreprise de terrassement, la section CGT a pris rendez-vous avec le mandataire, Maître Moyrand, pour que les éventuels repreneurs n’oublient pas de reprendre avant tout… les salariés. Sinon, le redressement risque de ne pas être « productif » !
AMBROISE CROIZAT VEUT SA SÉCURITÉ : 60, rue de la République – Le centre de rééducation professionnelle Jean-Pierre TIMBAUD tire la sonnette d’alarme quant à son devenir financier. En effet, l’association Ambroise Croizat qui gère l’établissement affiche un déficit cumulé de 6,6 millions d’euros que l’ARS (Ministère de la Santé) refuse de combler quand les politiques publiques sont pourtant à l’origine de ce déficit. Contre la menace de liquidation, la CGT du personnel envisage d’interpeler les politiques en se rendant le 6 juin prochain au Ministère.
TRANSPORTS TOXIQUES : 63 bis, rue Ernest Savart – Les TRANSPORTS OXYGENE 93, à l’instar de l’entreprise-sœur – OXYGENE 93 – spécialisée dans l’aide à la personne, pratiquent le droit du travail allégé et récoltent la colère des employés. Lissage illégal des heures supplémentaires, non versement du 13ème mois conventionnel, astreintes non payées, retards sur es salaires : la section CGT qui vient de se créer, a désigné notre camarade Opé ADESANYA comme délégué syndical… avec quelques coups de sang attendus côté direction.
LA SOLIDARITÉ EST DANS LE FORFAIT : 283-287, rue de Rosny – Chez STRICHER, entreprise montreuilloise de location de véhicules, la CGT avait réclamé et obtenu en 2012 la dispense pour les salariés des 7 heures dues au titre de la journée dite de solidarité. Disposition reconduite pour 2013, et étendue par accord d’entreprise au forfait annuel en jours pour les 21 cadres autonomes que compte la société.
CONVENTION COLLECTIVE Á TRADUIRE : 14, rue de la Beaune – TELELINGUA, comme la plupart des entreprises de traduction, n’avait pas de convention collective applicable. Depuis le 1er mars 2013, TELELINGUA entre obligatoirement dans le nouveau champ conventionnel et doit transposer les qualifications et la grille pour tous les salariés. Une négociation sensible pour laquelle la section syndicale CGT vient de s’engager forte d’une représentativité de 100% avec ses 4 élues.
Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.