19, avenue de la Résistance – MONOPRIX tente de faire signer à ses salarié-e-s des modifications d’horaires destinées à supprimer les chèques-restaurants. Une attaque visant de très petits salaires, le minimum maison se situant 1 centime au-dessus du SMIC. Contre ces abus, la CGT organisait samedi 23 avril un premier débrayage d’une heure… Dont le succès appelle et annonce de nouvelles réactions collectives.

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