Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Mi Septembre 2012  N° 106

« Rentrée 2012 : le combat, c’est maintenant ! »

RENTRÉE RENTABLE : 51-63, rue Gaston Lauriau – A la CAMIEG, les agents d’accueil de cette caisse de sécurité sociale des électriciens et gaziers ne percevaient, malgré les protestations de la CGT, des primes d’itinérance à 4% qu’au prorata de leurs déplacements. Ce mois de septembre, la revendication sera enfin satisfaite : une prime de 15% pour toutes et tous, y compris pour les quelques agents détachés d’EDF qui occupent ces fonctions. Beau succès pour la CGT !

SANS ANESTHÉSIE : 56, boulevard de La Boissière – L’inquiétude grandit au CHI André Grégoire quant aux intentions de l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui entend « redresser » la situation financière de l’hôpital en s’attaquant aux gardes d’anesthésie, ce qui remettrait de fait en cause la chirurgie d’urgence. Les syndicats de l’hôpital tirent la sonnette d’alarme et la CGT appelle à la mobilisation des personnels pour le 2 octobre prochain.

AU CARREFOUR DU VOLONTARIAT : 280, rue de Paris – Le groupe CARREFOUR a annoncé le 2 septembre un plan social de 600 « départs volontaires ». A la Porte de Montreuil, l’appel à volontariat a déjà commencé… avec la convocation de 12 salariés dont une élue CGT à entretien préalable au licenciement pour avoir refusé de travailler le 14 juillet. Pourtant, c’est écrit noir sur blanc dans la convention collective : deux jours fériés par an sont travaillés… sur la base du volontariat !

MVH-IRIS CONDAMNÉ : 26 bis, rue Kléber – La gérante de MVH-IRIS ne recrutait que des jeunes diplômés en contrats aidés, tout en omettant de cotiser pour leur formation et de payer leur travail. Notre camarade Dabo TRAORE vient enfin de faire condamner cette pratique, le Conseil de Prud’hommes fixant sa créance à 4840€ pour ses frais de formation et à un rappel de 2480€ pour le travail fourni non rémunéré.

MA 6T VA CRAQUER : 2, rue de l’Aqueduc – CITE MARYAM, association gérée par le Secours Catholique, avait cessé cet été de verser aux salariés leur prime d’internat, pourtant prévue au contrat de travail. Au retour des congés, une lettre du directeur informe le personnel qu’il a « suspendu » le versement de la prime au motif qu’elle n’existe dans la convention collective que sous certaines conditions. Au cas où il aurait mal lu les contrats de travail… un petit courrier des salariés lui a été adressé pour lui rappeler ses obligations contractuelles et les sommes à verser en septembre 2012.

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