Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Mi Juillet 2012 N° 104
« Fermeture de l’usine d’Aulnay : vous n’imaginez pas tout ce que Citroën peut faire pour vous »
L’AFPA PASSERA L’AUTOMNE : 13, place du Général de Gaulle – L’AFPA évitera la faillite… jusqu’à la fin de l’année. Objet d’une séance supplémentaire le 10 juillet, après le sommet social, le financement de l’AFPA trouve enfin une réponse provisoire suite à l’insistance de la CGT : l’AGEFIPH et Pôle-Emploi seront ainsi de nouveau impliqués. Mais les règles imposées à l’AFPA sous Sarkozy demeurent et la vigilance des personnels reste nécessaire. Le 10 juillet, ce sont 80 salariés du siège qui ont ainsi pique-niqué dans la cour de La Noue pour exiger une solution durable.
ÉCHEC Á L’ACHARNEMENT : 19, rue des Bons Plants – A l’APAJH, c’est devenu une coutume de réclamer tous les 2 ans le licenciement de notre camarade Daouia AZIB, déléguée syndicale CGT du Foyer. Le 6 juillet 2010, l’inspection du travail avait délivré un premier refus ; ce 9 juillet 2012, un deuxième refus vient d’être notifié à la direction, qui voulait cette fois licencier Daouia pour « insuffisance professionnelle ». Un anniversaire à fêter ?
LE THÉ NUIT Á LA SANTÉ : 11, rue des Grandes Cultures – Le personnel de LA ROUTE DES COMPTOIRS, dénué d’équipement de protection, s’asphyxie au milieu des poussières de thé que l’entreprise aromatise et conditionne. A bout, les salariés ont commencé à se syndiquer et viennent d’obtenir… leur visite médicale d’embauche (avec quelques années de retard) et 3 extincteurs. Reste la nocivité des produits aromatisants et les droits collectifs inexistants dans cette TPE de 8 salariés. La route est encore longue…
CESSION SPÉCIALE : 93, boulevard Paul Vaillant-Couturier – La SNDB, entreprise de bâtiment, connaîtra cet été un plan de cession de l’ancien patron vers son adjoint, sous la houlette du Tribunal de Commerce. Comme souvent dans de tels cas, l’employeur y a vu l’occasion de « dégraisser » à peu de frais et s’est employé à faire signer aux salariés des engagements aux termes desquels ils se déclarent « volontaires au licenciement »… Même ceux qui ne savaient pas lire ont trouvé la ficelle un peu grosse ! Le refus s’organise.
LE PSE DE PSA PASSERA-T-IL PAR MONTREUIL ? : La fermeture annoncée de l’usine PSA d’Aulnay ne serait pas sans conséquence sur les entreprises métallurgiques de Montreuil. 3 d’entre elles sont directement concernées par l’éventuelle disparition d’un client essentiel à leur activité : ABEILLON, rue Rochebrune ; ANELLI, rue Ernest Savart et SUPRAC, boulevard Jeanne d’Arc. Feront-elles partie du plan de redressement industriel ?
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