Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Mi-Avril 2012 N° 94
« Elle est pas bientôt finie, cette nuit du Fouquet’s ?»
GRÈVE PAYANTE… ET PAYÉE ! : 105, boulevard Chanzy – Les salariés d’INTERLOGEMENT 93 avaient pétitionné à plus de 80% contre une note de service leur interdisant d’accoler les congés payés aux jours fériés. Le 11 avril, face à l’impossibilité d’être reçus, les salariés se mettaient en grève : à midi, la direction jetait l’éponge, annonçait le retrait de la circulaire et le paiement de la grève. Belle sortie de crise !
MAUVAIS SONDAGE LE VENDREDI 13 : 14-18, rue Kléber – ACTUDES-INTERVIEWS a annoncé ce jour-là aux élus CGT son dépôt de bilan. Un mandataire devrait donc être nommé le 28 avril par le Tribunal de Commerce. C’est donc à lui que les 39 salariés, au service quasi-exclusif de l’institut de sondage BVA, réclameront la requalification en CDI de leurs centaines de « CDD d’usage ». Alors, qui paiera ? Répondez par oui ou par non…
HOLD-UP PATRONAL : 74, rue de Lagny – Chez TUI France, la gestion de l’ancienne direction de Nouvelles Frontières continue de faire des vagues : 55 millions d’euros de factures dissimulées, dépenses sans justificatifs d’une poignée d’anciens dirigeants, commissions pharaoniques etc… La CGT, qui s’est constituée partie civile contre ce hold-up, entend du même coup contester le P.S.E. limité à la France, alors que celle-ci ne compte que pour 10% de l’activité touristique du groupe TUI AG, responsable mais pas coupable.
HÔTEL COMPLET : 15-19, rue Franklin – A l’HÔTEL FRANKLIN, les prochaines élections professionnelles d’avril 2012 font recette. La toute jeune section CGT y enregistre 3 adhésions et présente d’ores et déjà 2 candidates DP, Nheza et Guenaelle aux suffrages des 17 électeurs. Elles pensent bien sûr faire le plein des voix.
NÉGO DE HAUT VOL : 30, avenue Léon Gaumont – Chez AIR FRANCE, deux réunions auront suffit à la direction pour clore la négociation annuelle 2012 sur les salaires sur un PV de désaccord de l’unanimité des syndicats. Magnanime, la direction apportait 2 propositions-phares : une rémunération annuelle garantie de 22000€ (qui ne profiterait qu’un seul salarié sur 60 000 !) et la revalorisation de la plage A3… qui n’existe plus ! Et sous la plage, n’y aurait-il pas quelques pavés ?
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