Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Janvier 2012  N° 86

« Définanciarisons les entreprises ! »

CACHE-CACHE Á L’URSSAF: 22, rue de Lagny – Le Conseil d’Administration de l’URSSAF ayant été exfiltré … au Cercle National des Armées, c’est rue de Lagny que les 500 grévistes ont exigé d’être reçus par la Direction. Avant cela, il aura fallu au personnel manifester jusqu’à la rue Léon Gaumont, s’introduire à l’UCANSS (organisme employeur de la Sécurité Sociale), puis revenir au siège, jouer à cache-cache avec le Directeur.

NOVALIS SE RENOUVELLE : 93, rue Marceau – Le groupe de retraite et prévoyance NOVALIS-TAITBOUT votait le 17 janvier pour élire ses institutions représentatives. Avec 626 voix, la CGT réalise une percée avec 39% des suffrages, derrière la CFDT mais devant FO et la CFE/CGC. Notre camarade Cyril RIBEYRE est élu délégué du personnel dans le collège Agents de Maîtrise et Cadres à Montreuil. Le syndicat CGT, fort de sa représentativité supérieure au tiers, entend se faire entendre dans les négociations de fusion avec HUMANIS.

RECHUTE CHEZ ACTOM : 155-157, rue de Rosny – L’histoire bégaye chez ACTOM FRANCE, l’imprimeur d’ordonnancier qui refuse toujours d’appliquer la convention collective des imprimeries. Il y a un an, l’Inspection du Travail refusait le licenciement de Rédouane NEBZRY, délégué syndical CGT. Le 20 janvier 2012, Rédouane était à nouveau convoqué, dans le cadre d’une procédure de licenciement… « nouvelle ».

GLOBAL SANCTION : 6 bis, rue de la Demi-Lune – GLOBAL DISTRIBUTION concevait des sites internet en employant des jeunes bacheliers en contrats de professionnalisation, taillables et corvéables à merci. Situation d’abus que notre camarade Aziz KAMAZ vient de faire sanctionner devant le Conseil de Prud’hommes, avec un rappel de salaire de 5125,51 euros. Comme quoi, les réseaux sociaux ne sont pas toujours là où on les croit…

COS Á DÉFENDRE : 1, boulevard Henri Barbusse – Le syndicat CGT des Territoriaux de Montreuil avait fait litière des accusations portées contre la gestion démocratique du Comité des Œuvres Sociales, subodorant que les calomnies préfiguraient des coupes sombres dans la subvention municipale. Bien vu ! La Municipalité entend imposer une baisse de plus de 50% de ce budget, soit 700 000 euros dont se trouveraient privés les 6000 ayants droits du COS, ouvriers, employés et retraités de la Mairie. Une AG du personnel est convoquée pour le 31 et la riposte s’organise.

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