Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Octobre 2011  N° 77

« La bonne recette : dégraissez les actionnaires pour remplumer les salaires ! »

ÉDUCATION MO(BILISA)TRICE : 52, rue Voltaire – A l’Institut d’Education Motrice EVOLUDIA, la dénonciation de la Convention Collective 51 ne passe pas auprès des personnels. Depuis la journée d’action du 6 octobre, la façade de l’établissement s’est parée d’un nouveau calicot : « Baisse des budgets = Fin d’un médico-social humain ». D’ores et déjà, la section CGT recense 19 grévistes déclarés pour le 11…

LA RETRAITE, ÇA MARCHE ! : 24, rue de Paris – Les retraités CGT dans l’unité avec leurs camarades des autres syndicats, ont été nombreux et remarqués à la manifestation parisienne du 6 octobre. Qu’on n’y trompe pas ! Pour beaucoup, il ne s’agissait que d’une mise en jambe pour la manif du 11 : retraité ne veut pas dire inactif !

ÉCHALIÉ ÉCHAUDÉ : 70-74, rue des Roches – Chez ÉCHALIÉ, le marché des amandes est désormais entre les mains du Tribunal de Commerce. En dépit des engagements pris avant l’été, les actionnaires grecs n’ont livré que 17% de la matière première promise. Pour la CGT, la crise grecque a bon dos quand on sait que les débiteurs ont pour nom Société Générale ou Caisse d’Epargne. L’écureuil a-t-il mangé trop d’amandes ?

LEMAR LE FLEMMARD: 5, rue Eugène Varlin – L’entreprise LEMAR TP avait décidé de licencier notre camarade Samira EL-JOUNI sans la convoquer à un entretien préalable, sans même lui remettre sa lettre de licenciement. Défendue par la CGT devant le Conseil de Prud’hommes, la sanction pécuniaire vient de tomber : LEMAR est condamnée à lui régler la somme de 12 290€, avec les intérêts légaux à compter de 2010.

SCEE… DUR POUR TOUT LE MONDE : 16, rue de Rosny – Le bureau d’études SCEE vient d’inventer le contrat de corvée ! Les 6 salariés en CDI avaient déjà dû se contenter d’un salaire partiel en juin dernier. Depuis, ils ne sont plus payés… que des belles promesses de l’employeur de régulariser bientôt leur situation. Après avoir saisi l’Inspection du Travail et adressé plusieurs mises en demeure restées sans réponse, le personnel a décidé de confier l’affaire à l’UL-CGT pour un référé prud’homal.

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