Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…   Début Septembre 2011  N° 74

« Boutique SNCF : Pour le service de proximité, veuillez composer le n° surtaxé… »

ÊTRE OU NE PAS EST-ENSEMBLE : rue Paul Lafargue – Depuis le 1er septembre, le ramassage des encombrants et des poubelles de rue a été transféré du service municipal vers l’intercommunalité Est-Ensemble. Seul problème : si les personnels sont transférés…. les véhicules, eux, ne l’ont pas été. Résultat, faute d’outil de travail, le ramassage ne peut plus se faire. Une situation… encombrante !

TROP DE NOUVEAUX, CHEZ LES ROBINSONS : 49, rue Raspail – Inquiets de l’endettement des NOUVEAUX ROBINSONS, suite à des investissements hasardeux, les élus CGT au CE ont voté le droit d’alerte. Tandis que la direction se voulait rassurante, un « rappel avant sanctions » était affiché au magasin de Montreuil appelant à travailler plus pour le même salaire, afin « d’être encore beaucoup moins ». Et donc sans doute un peu plus à Pôle-Emploi !

LES C.A.E. MENAIENT A PÔLE-EMPLOI : 58, avenue Faidherbe – Les 11 salariés du Lycée Eugénie Cotton qui avaient été embauchés en CAE (Contrat d’Accompagnement vers l’Emploi) ont été raccompagnés à Pôle-Emploi par l’Education Nationale pour cette rentrée. Scandalisé, le personnel du lycée a décidé, sur proposition de la CGT, de porter à l’Inspection Académique une pétition exigeant leur retour. … vers l’emploi !

RIDEAU DE FER AUX CHEMINS DE FER : 11, boulevard Rouget de l’Isle – La boutique SNCF devait fermer sans crier gare (cf. Je, Tu, UL n°69). C’était sans compter la pugnacité des usagers montreuillois qui, le 8 septembre, ont commencé à occuper l’agence : dès le lendemain, la direction commerciale de la SNCF recevait une délégation composée du député J.P. BRARD et des représentants des forces de gauche, hostiles à cette fermeture.

FASHION REPRESSION : 14, rue Diderot – La patronne d’ANTIK BATIK, boutique de prêt-à-porter féminin, déborde de créativité… surtout quand il s’agit de harceler notre camarade Sophie LAFONT, dont le seul tort est d’avoir été élue déléguée du personnel. Pour cet été, la collection de mauvais coups aura été riche : recours hiérarchique contre le refus de son licenciement ; tentative d’organiser de nouvelles élections avant la fin de son mandat ; projection d’ordinateur sur elle ; et le 9 septembre, nouvel entretien préalable en vue de son licenciement… alors même que la première procédure reste pendante…

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