La guerre nous ruine ?

                         Essayons la paix !


SOUTIENS AUX ROBINSON : 49, rue Raspail – Aux NOUVEAUX ROBINSON, le soutien s’organise contre la prédation de la coopérative, pionnière du bio. Le 12 mai, le Tribunal Judiciaire doit se prononcer sur le défaut d’information du CSE sur le projet de vente de 9 magasins. Un Comité de Défense en lien avec la CGT a par ailleurs vu le jour, visant à mobiliser les 27 000 sociétaires, les clients et les salariés pour sauver l’enseigne montreuilloise. Une pétition en ligne a été lancée : https://www.leslignesbougent.org/petitions/soutien-a-la-cooperative-biologique-les-nouveaux-robinson-7620/

PÉCHÉ DE PINGRERIE : Grands Pêchers – Trop cher le prolongement de la Ligne 1 du métro jusqu’à Montreuil ? Tel est en tout cas l’avis (contesté) de la commission d’enquête publique qui fait fi des 8000 contributions citoyennes et ne retient que le milliard et demi d’euros nécessaire au désenclavement des populations du quartier Bel-Air/Grands Pêchers. Un refus de développer les transports en commun à rapprocher aussi des protestations entendues à Vincennes, sur l’afflux des banlieusards qui sortiraient du métro !

LIMITE À LA COMPLICITÉ : 20, rue Rabelais – LES COMPLICES auraient voulu pouvoir prolonger l’activité partielle des salariés jusqu’en 2026. Mais les transferts de personnels du fabricant de jeans, d’une société à l’autre du groupe, ont fini par faire douter du bien-fondé de la demande. La CGT a donc refusé, malgré le chantage aux licenciements, de signer un accord d’APLD (activité partielle de longue durée) qui aurait entériné la baisse des salaires pendant 4 ans.

RECONNAISSANCE : 3, rue Franklin – Les salariés de l’AFPA votaient la semaine dernière pour élire les 2 administrateurs présentés par les syndicats. Philippe Martinez s’était d’ailleurs adressé au personnel pour souligner l’enjeu du scrutin pour le service public de la formation professionnelle. Avec 745 voix, la liste CGT fait élire notre camarade Catherine RIBOT au CA, l’autre siège étant attribué à la CGC.

NON ASSISTANCE : 280, rue de Paris – CARREFOUR persiste dans le déni de l’insécurité autour et dans le supermarché de la Grande Porte. Après les violences liées aux revendeurs de cigarettes à la sauvette, c’est encore l’agression d’une caissière, laissée 2 heures sans soin faute de responsable ou d’agents de sécurité sur la ligne de caisse le samedi. L’absence de réaction aux alertes de la CGT devient constitutive de faute inexcusable de l’employeur.

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