Salaires bloqués + inflation :

                             c’est l’effet salaire…

MISE À PIEDS : place Jean Jaurès – La RATP était en grève ce vendredi 25 mars avec des stations de bus quasi désertes et 7 lignes sur les 12 traversant Montreuil à l’arrêt complet, dès le matin. L’alarme sociale déclenchée le 22 février par 6 syndicats dont la CGT n’ayant rencontré que mépris de la part de la direction et des tutelles, c’est sans surprise qu’une majorité de machinistes aura cessé le travail pour exiger le dégel du point d’indice et l’arrêt de la mise en concurrence du réseau RATP avec des opérateurs privés à but lucratif.

CONTINUITÉ SYNDICALE : 24, rue de Paris – Les retraités CGT de l’URSSAF se réunissaient le 24 mars pour leur assemblée générale à la Bourse du Travail. Les 35 délégué-e-s présent-e-s, soit la moitié des syndiqué-e-s, ont décidé de transformer leur section en syndicat, avec dépôt des statuts, et d’élire un bureau de 7 membres autour de notre camarade Marie-Claude BUCH qui en sera la secrétaire générale.

INDI-GESTION : 260, rue de Rosny – Chez EMMAÜS-ALTERNATIVES, la lutte continue après la grève du 7 mars. La direction qui avait convié les « encadrants » le 22 à une formation sur « la gestion des conflits » a été interpelée par la CGT sur sa propre gestion des conflits et l’ensemble des encadrants a ensuite boycotté la formation, exigeant la reconnaissance des qualifications et l’amélioration des conditions de travail… au-delà des 50€ accordés.

ÉNERGIE MAÎTRISÉE : 35, avenue de la Résistance – MAÎTRISEZ VOTRE ENERGIE (MVE) votera lundi 28 pour élire son CSE. Avec, pour la première fois, 2 listes syndicales en présence, dont celle présentée par la CGT, emmenée par nos camarades Grégoire MEUNIER et Meven MOISSAN. On leur souhaite plein succès !

SUS AUX BIEN NAOURI : 19, avenue de la Résistance – Chez MONOPRIX, la CGT pointe la politique du groupe CASINO dirigé par Jean-Charles NAOURI, dont la pingrerie vis-à-vis de ses salariés n’a d’égale que la générosité manifestée envers lui-même et les actionnaires. En témoignent le constat de désaccord pour les des négociations annuelles et le record pour le versement des dividendes.