Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt    Je, Tu, UL…  Début Mars 2010  N° 47

« Sauver la médecine du travail pour vivre plutôt que mourir au boulot »

TERRITORIAUX DE QUALITÉ 1, place Jean Jaurès – Rude journée que le 18 février pour les élu(e)s qui dans « L’Express » exigeaient du personnel communal « un meilleur rapport qualité-prix ». Unis dans la colère, les 3 syndicats ont aussitôt appelé à la riposte : un bon millier de grévistes, une belle manif dans Montreuil et un Conseil Municipal interpellé par notre camarade Laurent GRIMMONPREZ sur les emplois vacants, les conditions de travail et les rémunérations à la ville. Bref, du nombre ET de la qualité !

AUX DÉLIRES DE MONTREUIL: 39, boulevard Paul Vaillant-Couturier – Le nouveau boulanger des « Délices de Montreuil » ne répond plus des dettes de son prédécesseur. Donc pas de paie en février pour les 4 employées contraintes de lui rappeler qu’avec l’enseigne, il avait racheté aussi 4 contrats de travail à honorer… à la baguette !

LE SOUTIEN S’ORGANISE : 67, boulevard Rouget de l’Isle – Les Manpower poursuivent le combat pour une circulaire Darcos de régularisation. Les cinéastes leur ont emprunté quelques images pour le film projeté dans 500 salles et les Montreuillois les entourent avec une nouvelle réunion de soutien mercredi 10 mars à 20 heures, à la Bourse du Travail … de l’autre côté de la place.

RELÈVE SYNDICALE CHEZ MONOPRIX : 19, avenue de la Résistance – Pas de problème de casting pour la CGT. Le départ en retraite de Marlène, puis de Maryse comme anciennes déléguées syndicales a conduit le syndicat du magasin à désigner Esther WINSTON, en qualité de D.S. CGT. Quant à la cafétéria, elle conserve sa propre représentation CGT avec notre camarade Angela MARTIN. Qui dira mieux pour le 8 mars, journée internationale des femmes ?

SERRAGE DE BOULONS : 52, rue de la Ferme – Les élections chez LEVRAT, entreprise de visserie et boulons n’ont pas donné un résultat trop serré. Sur 6 sièges de délégués à pourvoir, 6 ont été à la CGT : seul le patron n’a pas été déboulonné.

LEADER PEINE: 15, place du Général De Gaulle – On se souvient de l’acharnement de la direction du Leader Price contre la section CGT après la grève de 2005. En mars 2006, Farid HADJAILIA avait été licencié, abusivement disions-nous. Le Conseil des Prud’hommes confirme, condamnant Leader Price à lui payer 17 225€, plus les intérêts légaux.

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