Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Février 2010  N° 46

« Porté disparu : le Président… du pouvoir d’achat »

QUI SEM LA MISÈRE…: 156, rue de la Nouvelle France – La municipalisation du tennis et du personnel de la SEM Sports Loisirs tourne court… sur terre battue. Le 3 février, le DRH de la Ville voulait imposer sous huitaine, un nouveau contrat avec baisse de salaire aux 14 salariés : refus unanime ! La section CGT rappelle en outre au nouvel employeur (grand étourdi !) qu’il avait oublié en janvier de payer 2 salariés, toujours dans l’effectif.

A L’URSSAF, LA CGT FRAPPE 3 FOIS : 22-24, rue de Lagny – Triple succès pour la CGT avec la réintégration d’Henri au centre d’appels (cf. Je, Tu, UL n°44 et 45), victoire aussi contre la Direction qui avait saisi le TGI pour bloquer l’expertise du CHSCT sur les troubles psychosociaux. Condamnée, l’URSSAF devra payer 400€ à chaque élu…et en outre, réintégrer aussi le Médecin du Travail qu’elle voulait licencier. La santé, ça n’a pas de prix !

 

PAS DE REPOS POUR LES MANPOS : 67, boulevard Rouget de l’Isle – La mobilisation a joué à fond pour faire libérer Abdoulaye COULIBALY, gréviste de Manpower dont la Préfecture de Paris discutait de la régularisation au moment où il était expédié au centre de rétention de Oissel. Revenu sur le piquet de grève de Montreuil, il bénéficiera avec ses camarades du 2ème versement de la solidarité financière pour les piquets : 85 000€ ont été collectés en 4 mois pour les 6000 grévistes.

PAIN PERDU : 36, avenue Pasteur – Le boulanger du Fournil du Perche a la dent dure. Contraint devant le Conseil des Prud’hommes à payer 1000€ à Dalila, il la convoque une première fois à un entretien préalable au licenciement auquel il ne vient pas, puis la reconvoque pendant son hospitalisation. Pour une procédure bâtarde ?

CANAILLERIE : 8, rue Mériel – Le siège national de la CNL s’est engagé depuis quelques mois dans une chasse aux cégétistes. Harcèlements, menaces et cette fois, expulsion de la comptable, licenciée sans préavis ni indemnité. Pour la section CGT et les élus du personnel, Marie-Michèle a été « jetée à la rue comme une locataire » sur des griefs mensongers. Pas très reluisant, pour une organisation qui revendique – à l’extérieur, bien sûr ! – des liens… avec la CGT.

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