Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin juillet 2009  N° 37

«Le menu service compris ? Récupérons la TVA ! »

COMMENT LE RECOUVREMENT ?: 22-24, rue de Lagny – L’URSSAF subit l’inflation des charges nouvelles (aujourd’hui RSI et auto-employeurs ; demain les cotisations chômage) accompagnée de la restriction de ses moyens. D’où la récente grève, le 15 juillet, des conseillers-cotisants et, le 16, la journée d’action intersyndicale, avec des distributions de tracts pour alerter sur la crise organisée du recouvrement des cotisations sociales.

OU VERTE OU FERMÉE : 15, rue Girard – L’Agence Verte, spécialisée dans les supports de publicité vient d’annoncer devant le Tribunal de Commerce, un « plan de sauvegarde » consistant à licencier la moitié du personnel pendant les congés. Faute d’explications sérieuses, les intéressés ont donc décidé d’accueillir le mandataire par une grève.

PLONGÉE FRUCTUEUSE : 24, rue de Paris – Le syndicat CGT des Moniteurs de Plongée, créé à Montreuil il y a un an, vient de signer son premier accord bilatéral sur le travail saisonnier dans les Centres de Plongée avec le SNEPL. Pour cette catégorie de personnels ultra précaires, qui n’avaient auparavant aucun syndicat, la saison 2009 commence avec de premières garanties dont la CGT réclame maintenant l’extension par l’Etat.

INAPTE DE L’IRIS : 41, rue Douy-Delcupe – La société IRIS-FENETRES avait licencié l’un de ses poseurs Monsieur BENABID pour inaptitude, sans consultation des délégués sur les possibilités de reclassement. Défendu par la CGT devant le Conseil des Prud’hommes, il obtient le 3 juillet une indemnité de 22 136,40€… sans jeter l’argent par les fenêtres !

DU NOUVEAU A LA NVO : 263, rue de Paris – Le syndicat CGT de l’hebdo (et futur quinzomadaire de la CGT) s’interroge sur le devenir de l’entreprise. Une assemblée de syndiqués de la NVO s’est donc tenue le 9 juillet, avec nouveau bureau et nouveau délégué syndical en la personne de Bruno LEPRIEUR.

NETTOYAGE A SEC : 95, avenue du Président Wilson – C’est SEAU NET, l’ancêtre de PLUS-NET (toujours avec la marque Clean House) qui vient d’être condamnée par le Conseil des Prud’hommes à payer plus 208 000€ à 6 salariés défendus par la CGT.

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