Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Octobre 2008  N° 23

« C’est la crise, j’augmente les salaires !» , Henry FORD, PDG des automobiles du même nom

GRIALLET, L’ATTENTE DANS LE FROID : 3 Bis, rue des batteries – Une nouvelle rencontre avec le Mandataire Liquidateur, Maître Randoux, s’est tenue le 27 octobre à Saint-Quentin en présence de la CGT et du député Jean-Pierre BRARD. Le liquidateur, désormais seul représentant légal de feu la société Griallet, accepterait de signer les 19 engagements à verser la redevance ANAEM afin d’aider au traitement des dossiers de régularisation. Mais cette avancée exige un effort de l’administration : à Monsieur Hortefeux de réchauffer l’atmosphère !

 

SOLIDARITHÉ AVEC LES PLUS-NET : 4, rue Girard – Les salariés sont toujours sans nouvelle de leur employeur après une longue semaine d’occupation. Mais les preuves s’accumulent sur les pratiques esclavagistes en vigueur dans cette entreprise, sous-traitante à 80% de l’hydre Bouygues… Comme il paraît que le thé aide à tuer le temps, les 20 grèvistes invitent les riverains et amis à venir les soutenir chaque dimanche à midi, sur le site, autour d’un thé chaud.

REPOUSSER LES FRONTIÈRES : 74, rue de Lagny – Nouvelles Frontières connaît la crise avec un nouveau « plan de sauvegarde de l’emploi ». Le 30 octobre, la CGT a donc interpellé la Direction en prévision du CE extraordinaire du 4 novembre pour que la sauvegarde l’emporte sur les suppressions de poste. Les propositions syndicales pourraient en effet limiter sérieusement les dégâts et la Direction s’est engagée à « en tenir compte ».

SPORT SYNDICAL : 46, rue de Lagny – La Fédération Française d’Education Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) a signé pour l’organisation des élections des délégués du personnel. Aussitôt, une volontaire s’est portée candidate pour la CGT : Valérie LEGROS dont on attend donc l’élection prochaine…

EMMAUS ALTERNATIVES ET INTERLOGEMENT EN LUTTE : 22, rue des Fédérés – Après une forte participation à la journée d’action intersyndicale sur les salaires du 30 septembre, qui a rassemblé 15000 manifestants à Paris, les salariés d’Emmaus Alternatives et d’Interlogement restent mobilisés et fermes sur la revendication d’une augmentation générale des salaires de 2,15% pour 2008. Si le Ministère du Travail ne signe pas l’armistice d’ici le 11 novembre, il doit s’attendre à de nouvelles ripostes…

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