« Tout le monde déteste le G7… Et réciproquement »

UNE VICTOIRE, MAIS PAS DE TREVE : 11, rue des Deux Communes – A la DOUANE, la longue lutte de cet été se concrétise avec un arrêté au Journal Officiel qui fixe l’indemnité de risques pour les fonctions de surveillance à 88 points d’indice majoré au 1er novembre 2019, puis 90 points en 2020 et 92 en 2021. Un succès revendicatif qui n’endort pas la CGT quand le Ministère des Comptes Publics prétend supprimer 5800 emplois de fonctionnaire dans le même temps, alors que le Brexit va exiger de nouveaux et importants contrôles. L’intersyndicale appelle donc à la grève à compter du 16 septembre, au sein du Ministère.

REPRÉSENTATIVITÉ ÉLECTRONIQUE : 240, rue de Rosny – Chez ICSB, c’est en plein mois d’août et par vote électronique (la loi permettant à l’employeur de l’imposer) que les salarié-e-s élisaient leur CSE. Des modalités qui vont profiter à la CGT qui obtient 56,8% des voix (+41%), contre 29,5% à l’UNSA et 13,6% pour la CFE/CGC. C’est notre camarade Sylvia VOLTURO qui a été reconduite comme déléguée syndicale CGT.

BŒUF IMPRÉVOYANT : 235, rue Etienne Marcel – Au restaurant BŒUF A SIX PATTES, notre camarade Mahamadou FOFANA n’avait pu bénéficier de la prévoyance d’entreprise. Le Conseil de Prud’hommes de Bobigny vient de condamner son employeur à déclencher l’ouverture de ses droits outre 10406 euros de provisions au titre des indemnités dont il a été privé, et ce sous astreinte de 20 euros par jour de retard.

ATTOUCHEMENTS EN PROMOTION : 240, rue de Rosny – TESSI CHEQUE ILE-DE-FRANCE inscrira-t-il bientôt le droit de cuissage au règlement intérieur ? C’est la question que se pose la CGT après le licenciement de la salariée qui avait dénoncé les attouchements sexuels dont 2 salariés disaient être victimes de la part d’un responsable. Lequel responsable aurait pu être promu au tri cette semaine, n’était l’intervention de nos camarades qui ont exigé son éloignement immédiat du site… à défaut d’une enquête sérieuse et de sanctions éventuelles.

UN GROS AGRO AU DROIT : 263, rue de Paris – L’USOPA, condamnée le 28 août à réintégrer notre camarade Johnny NETO, licencié sans autorisation administrative alors qu’il était titulaire d’un mandat CGT, s’obstine à lui refuser l’accès à son poste au sein de la FNAF-CGT. Une situation inadmissible que l’UL-CGT vient de dénoncer par un courrier à la direction confédérale, pour que soit exécutée cette décision de justice. A suivre…

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