« Qui ne dit mot… ne sera jamais entendu »

DU ROND-POINT Á ALTAÏS : 65, rue du Capitaine Dreyfus – La CGT des TERRITORIAUX surveille de prés l’impact du déménagement des services municipaux qui doivent s’installer le 13 août dans la Tour ALTAÏS (ex-ROND-POINT 93), refaite à neuf. En particulier, la question du stationnement puisque sur les 242 places du parking prévues pour la tour, le personnel venant travailler en voiture ne pourrait accéder qu’à 50 d’entre elles… Ce qui paraît insuffisant au regard de l’éloignement des domiciles et de certains handicaps. A défaut, le budget parcmètre serait de 180 euros pour venir travailler !

CONTRÔLE, RAS-LE-BOL : place Jean Jaurès – C’est vers l’ex-siège de l’AFPA réquisitionné pour le relogement des résidents du Foyer Bara, puis devant le Commissariat de Police, que 300 montreuillois ont manifesté le samedi 3 août, contre le harcèlement policier visant les travailleurs migrants. L’UL-CGT avait contribué à cette riposte unitaire et locale, face à la multiplication des contrôles « au faciès » cet été, autour des foyers de migrants.

CHASSE AUX INSPECTEURS : 22-24, rue de Lagny – A l’URSSAF où, en juin, la mobilisation avait fait reculer la direction sur 5 procédures de sanction, c’est le site de Guyancourt qui devient le théâtre d’un bras de fer entre les inspecteurs, qui étaient en grève le 5 août, et l’employeur, décidé à licencier un responsable d’inspection pour un badgeage non conforme. Faux prétexte, répliquent ses collègues et la CGT, lesquels dénoncent l’atmosphère délétère qui règne dans le service et une sanction visant une victime et un témoin de celle-ci.

PRÉTENDU COMPORTEMENT : 240, rue de Rosny – Chez TESSI CHEQUE ILE DE FRANCE, la CGT avait alerté sur le comportement d’un responsable de plateau dont 2 salariées avaient dénoncé les attouchements sexuels. Pour la direction, il s’agit, écrit-elle, « d’un prétendu comportement », et l’une des salariées entendue dans le cadre de l’enquête interne se retrouve aussitôt menacée de licenciement pour une prétendue altercation à laquelle elle n’a pris aucune part. Sa faute ne serait-elle pas plutôt d’avoir corroboré les accusations d’attouchement visant ses collègues ?

RECUEIL SOLIDAIRE : 263, rue de Paris – Au siège de la CGT, la solidarité face à la canicule s’est manifestée par l’hébergement de personnes fragiles sans domicile dans les bâtiments souvent vides la nuit. Une décision syndicale prise en concertation avec le tissu associatif et la ville de Montreuil.

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