logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Avril 2018  N°297

« Macron : du président 2.0… au président un point, c’est tout ! »

FONCTIONNAIRES EN COLÈRE : 1, place Jean Jaurès – En MAIRIE DE MONTREUIL, les agentes et agents de la propreté des bâtiments poursuivent leur mobilisation, entamée le 28 mars, avec des AG, comme celle du 6 avril, toujours aussi suivies. Un mouvement qui tend à faire « tache d’huile » dans d’autres services, tant les questions des postes vacants, des non-remplacements et de la surcharge de travail concernent l’ensemble des territoriaux : les fonctionnaires et contractuels refusent également la fausse solution du recours au privé, pour « sauver » le service public.

REMÉDE DE CHEVAL : 33, rue Clos des Français – La PHARMACIE éponyme avait licencié en décembre dernier, pour cause de liquidation judiciaire, la totalité de son effectif. C’était compter sans la pugnacité du personnel, épaulé par la CGT : c’est désormais le retour à l’emploi qu’exigent les intéressées, par suite de l’annulation le 4 avril par la Cour d’Appel du jugement du Tribunal de Commerce prononçant la liquidation. Pour la CGT, la pharmacie doit donc rouvrir… et payer les 4 mois d’arriérés de salaire !

CONTRE LE NAUFRAGE DU BAC : 1, place Jean Jaurès – L’EDUCATION NATIONALE est un autre service public en danger. Pour le dire, l’intersyndicale des Lycées CGT, SNES-FSU et SUD organisait mercredi 4 avril en mairie, une rencontre avec les parents de la FCPE, pointant le dynamitage du bac, parcoursup et le « lycée à la carte » au cœur des projets Blanquer.

ENTREPRISE DE DÉMOLITION : 3, rue du Marais – Chez PINAULT-GAPAIX, entreprise montreuilloise de démolition, on n’abat pas que des murs. C’est ainsi que 14 salariés africains viennent d’adresser une lettre collective au patron pour réclamer le suivi médical obligatoire après 9 ans de travaux de déplombage et de désamiantage… sans protection, ni formation spécifique. Ceux en CDD de rappeler aussi à l’employeur l’interdiction les concernant des interventions sur flocages et calorifugeages. On attend la réponse !

C.A. TENDU : 3, rue Franklin – A l’AFPA, la CGT s’attend à un massacre après la réunion du Conseil d’Administration du 3 avril, programmé dans l’attente des arbitrages de l’Elysée, résidence de Jupiter. Un audit de l’IGAS donne en effet le ton, en stigmatisant le « manque de compétitivité » de l’AFPA pour mieux justifier des coupes sombres dans les effectifs et des fermetures de centre. Un banc d’essai pour la réforme de la SNCF, sans doute ?

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