Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Janvier 2018  N°288

« Vœux de Macron : un pour cent, tous pour eux !»

TANT QU’ON A LA SANTÉ : 66-72, rue Marceau – Chez SANTE-SERVICE, la CGT n’entend pas « dormir sur ses lauriers » après l’obtention de 11 recrutements et une prime annuelle de 340€ bruts (250€ nets). En ligne de mire, la négociation annuelle sur les salaires, avec des propositions offensives telles que l’augmentation de 20% des salaires, un salaire plancher de 2250€ bruts dans l’entreprise, le passage à 32 heures sans perte de salaire et la mise en place d’un véritable 13ème mois pour tous. Le courrier étant parti le 5 janvier, la balle est maintenant du côté de la direction…

SUEURS FROIDES : 34, rue des Messiers – La SNEM est à vendre. Pour la CGT, la crise de confiance avec l’actuel employeur exige en effet la reprise de l’entreprise pour la poursuite de son activité. La date limite fixée au 8 janvier 2018 laisse planer un suspens qui pourrait se prolonger à la demande des clients. En attendant, les salariés de l’usine restent donc dans l’incertitude et dans le froid, faute de chauffage des locaux.

 

MÉDAILLE D’OR DE LA COMPROMISSION : 59, rue de la République – La direction de BNP PARIBAS avait conclu 2017 en dénonçant l’accord relatif aux primes de médailles et aux gratifications d’ancienneté. L’accord de substitution que viennent de signer les syndicats CFDT, FO et CGC (SNB) entérine une perte moyenne de 6675 euros par salarié âgé, selon le calcul de la CGT qui dénonce la trahison d’une signature validant « l’arrêt de mort des primes » sans même que la direction n’ait communiqué le montant des sommes provisionnées.

C’EST PAS LA FÊTE : 13, avenue Gabriel – Au MATERIEL FORAIN, les salariés ont été convoqués en ce début d’année pour signer l’information de la direction sur une prochaine fermeture. A défaut de délégués du personnel, impossible de connaître la situation réelle de l’entreprise, où le SMIC reste la règle et où l’employeur s’essaie à son tour aux « départs négociés », avec des propositions inférieures à ce que prévoit le Code du travail.

GALETTE DE LUTTE : 24, rue de Paris – Le syndicat CGT des TERRITORIAUX de Montreuil fait le point sur les attaques subies par le personnel communal, au travers des choix austéritaires et des sous-effectifs. Décidé à faire appel à ses adhérents pour affronter les enjeux de 2018, le syndicat convoque son congrès au printemps et invite le 18 janvier à une galette pleine de fèves revendicatives. Ou comment lutte pour la galette se conjugue avec galette de lutte !

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