Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Octobre 2017  N°281

« Make our Code du Travail… great again ! »

LES ECOLES CRIENT Á L’AIDE : 3, rue de Rosny – Les ECOLES de Montreuil réclament un plan d’urgence face au constat des conditions dégradées par la suppression de la plupart des contrats aidés (CUI) et des ATSEM en nombre insuffisant. Parents, enseignants et personnels territoriaux présenteront donc une motion aux conseils d’écoles de la ville pour la création d’emplois statutaires et un plan de titularisation. Pour sa part, le syndicat CGT des territoriaux recense 30 emplois d’ATSEM et d’agents d’entretien non pourvus et 2 responsables de secteur absents et non remplacés.

LE MILLION ! : 14-18, avenue Kléber – ACTUDES-INTERVIEWS faisait effectuer ses sondages par des enquêteurs-vacataires, recrutés pendant des années sous contrat « d’usage », à la journée. La CGT contestant la légalité de ces contrats, 36 enquêteurs avaient saisi les prud’hommes qui les avaient déboutés. C’était compter sans leur détermination : défendus en appel par la CGT, ils viennent de recevoir la décision définitive des juges et auront à se partager un millions d’euros de rappels de salaire et d’indemnités… avec tout de même 5 ans de retard.

MICRO-EFFORT : 59, avenue de la République – Chez BNP PARIBAS, la négociation annuelle avance, même si la CGT l’estime loin du compte. La banque propose pour la première fois une augmentation pérenne de 0,6% au 1er avril prochain, 500 euros supplémentaires sur l’intéressement et un budget égalité de 2,5 millions, y ajoutant 3000 embauches, sans toutefois préciser le nombre des départs. La CGT, qui revendique une enveloppe salariale de 75 millions d’euros, calcule qu’un tel « effort » ne représente que 2,6 centimes par action : une ruine !

LE BŒUF Á BOUT : 235, rue Etienne Marcel – Au BŒUF A SIX PATTES, le « repreneur » Monsieur BELCOU, répondait « en direct » le 25 octobre aux questions DP sur le délabrement des installations et les promesses non concrétisées. Se plaignant du manque de « visibilité » et de l’hémorragie du personnel souhaitant quitter le restaurant, le nouveau patron ne fera qu’une seule annonce : la suppression des chèques-cadeaux. Pour mieux retenir le personnel ?

POUR ERRER : 28, boulevard Chanzy – L’association POUR LOGER convoquait le 27 octobre ses 2 agents d’entretien pour un éventuel licenciement économique. Accompagnés d’un conseiller, ils se présentent donc à l’heure dite… pour trouver portes closes : ni le président, ni la directrice ne venant à leur propre rendez-vous, constat sera fait d’une procédure en errance.

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