Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Mi-Octobre 2017  N°280

« Roi Macron, les fainéants te dégageront »

L’AFPA DANS L’IMPASSE : 3, rue Franklin – A l’AFPA, Yves BAROU a annoncé le 19 octobre sa démission de la Présidence, refusant d’organiser un plan social. Le 12, Macron avait pourtant assuré Philippe MARTINEZ de son accord pour « revoir et renforcer le rôle de l’AFPA »… Des AG du personnel sont convoquées dans l’ensemble des centres, la CGT mettant en débat avec l’Intersyndicale, une « montée » devant les Ministères pour exiger un soutien au service public de la formation professionnelle (AFPA, CNAM, GRETA et Centres de Rééducation Professionnelle) face aux officines du tout lucratif.

BASCULE AU COS : 1, boulevard Henri Barbusse – Le Comité des Œuvres Sociales de la ville de Montreuil va changer de main suite aux élections du 17 octobre. Avec une abstention de prés de 65% des agents, la liste commune CFDT-FSU devance celle de la CGT, avec 8 sièges sur 13 et 58,9% des voix, contre 41,1% pour la liste CGT. Un revers à contre-courant du résultat obtenu le lendemain, à Bobigny, où se tenait un scrutin identique, et qui interroge donc sur les difficultés propres au syndicat des territoriaux CGT de Montreuil.

LA LANGUE DES CHIFFRES : 14, rue de la Beaune – Chez TELELINGUA FRANCE, entreprise de traduction, c’est à l’inverse un carton plein pour la CGT qui recueille 36 voix sur 37 à l’élection des déléguées du personnel. Félicitations, donc, aux 2 Vanessa et à Isabelle, élues pour 4 ans à l’unanimité des votants, et avec un score de représentativité syndicale de 100%.

SENS DE L’HISTOIRE : 31, boulevard Théophile Sueur – Au MUSEE DE L’HISTOIRE VIVANTE, dont l’UL-CGT est adhérente, les employées ont revendiqué et obtenu de travailler moins à salaire égal, à défaut d’une augmentation de leur salaire. Concrètement, elles travailleront désormais sur 4 jours en gagnant une demi-journée par semaine sur le temps de travail, avec maintien de leur salaire mensuel.

ÇA CAUSE Á L’ACOSS : 36, rue Valmy – Le syndicat CGT de l’ACOSS, « banque » de la Sécurité Sociale, tenait congrès le 20 octobre. L’agence, qui doit fin 2017 passer de 600 à 1300 salariés par suite de l’absorption des centres informatiques, devra aussi convoquer des élections professionnelles. La CGT, qui dirige le Comité d’Entreprise, entend accélérer le rythme que les Ordonnances Macron s’emploient à ralentir. Une bataille que le syndicat considère comme urgente.

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