Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

   Je, Tu, UL…  Fin Avril 2017  N°264

« C’est pas à l’Elysée qu’on obtiendra des avancées : le 1^er mai, on bat le pavé ! »

ARROSEUR ARROSÉ : 22-24, rue de Lagny – A l’URSSAF Ile-de-France, le Conseil d’Administration du 25 avril aura acté que direction et présidence souhaitaient désormais mettre un terme aux suppressions d’emplois. Les mêmes qui en ont « dégraissés » 500 en 7 ans auraient-ils pris conscience que les nouvelles missions en 2017, dont le recouvrement des indépendants, allaient poser un problème d’effectif ? Le syndicat CGT a en tout cas aussitôt rebondi en rappelant ses revendications en matière d’embauche, de hausses des salaries et d’amélioration des conditions de travail.

MAISON TROP OUVERTE : 111, avenue du Président Wilson – La MAISON DES VERGERS, qui reçoit des personnes âgées vulnérables, semble faire bien peu de cas de leur sécurité. La CGT y dénonce depuis des années le manque de personnel de l’EHPAD, avec certaines nuits 3 professionnels seulement pour encadrer l’ensemble des résidents, et donc dans l’impossibilité de faire face aux intrusions extérieures. C’est ainsi que les aides-soignantes ont été confrontées à un nouveau public pour cette maison de retraite : celui des bars de nuit !

VISION DÉFORMÉE : 261, rue de Paris – Chez DG OPTIQUE, le rachat des opticiens issus de l’UTMIF commence par un contentieux au Tribunal d’Instance de Montreuil. Le PDG y contestait, le 27 avril, la désignation avant son transfert administratif de notre camarade Taieb MOUSTAFID, pour représenter la CGT. L’Inspection du Travail ayant entre-temps autorisé le transfert, voilà notre camarade officiellement désigné comme représentant de la section syndicale auprès de son nouvel employeur. Bien vu !

TRISTE SIRE : 17, rue Malot – La société SIRE avait réparti ses salariés entre SIRE Nettoyage et SIRE Agencement. Néanmoins, chacun des 11 salariés arrivaient au même constat : aucun salaire depuis mars dernier. Le Tribunal de Commerce de Bobigny étant saisi, il leur faudra encore attendre sa décision, le 10 mai prochain.

SURPRODUCTION DE BÉBÉS : 56, boulevard de la Boissière – Le CHI ANDRE GREGOIRE demeure sous la pression de la Chambre Régionale des Comptes qui s’alarme que l’effet « bénéfique », selon elle, des restructurations ait été « quasiment balayé par les recrutements opérés en médecine et en obstétrique. L’hôpital vient ainsi de franchir le cap des 4000 naissances annuelles. C’est grave docteur ?