Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Mi-Mars 2017  N°260

« La clause Molière, c’est tartufferie sans frontière »

UNE PRIMAIRE AU LYCÉE : 58, avenue Faidherbe – Au lycée EUGENIE COTTON, on votait le 15 mars, à l’initiative des syndicats dont la CGT Educ’Action. Une consultation sur les heures volées, représentant l’équivalent de 4 postes, révélatrice de la discrimination sur les dotations « accordées » par le rectorat. A la question pourquoi…. électrices et électeurs ont unanimement préféré la réponse « parce que le rectorat veut faire des économies » à celle « les élèves n’ont pas besoin de soutien ». Une réponse que le rectorat n’aura, hélas, pas démenti ce jeudi, devant la délégation des enseignants qu’il a reçue. On se demande bien pourquoi !

 

LES ENFANTS D’ABORD : 59, rue de Vincennes – Au micro-ESAT de l’APEI, la section CGT vient de négocier et de signer le 17 mars son premier accord d’entreprise avec l’employeur. Les 2 élues CGT obtiennent ainsi que « le premier jour de chaque période de maladie de l’enfant de moins de 16 ans soit rémunéré, sans limite quant au nombre de périodes » et la possibilité de rattraper les jours non-rémunérés pris au-delà du premier.

CHIFFON ROUGE CHEZ EMMAÜS : 47, avenue de la Résistance – EMMAÜS-France renouvelait le 14 mars sa Délégation Unique du Personnel, jusqu’alors élue à l’issue du 2ème tour et partagée entre liste syndicale et « sans-étiquette ». Cette fois, le quorum étant atteint au 1er tour, la CGT obtient 85.7% des voix et l’élection de ses 3 candidat-e-s titulaires, contre 14.3% pour FO. Une représentativité établie pour 3 ans dans le cadre du nouveau cycle. Un 2ème tour sera néanmoins organisé pour les suppléants.

DEMOCRATIE Á L’ŒUVRE : 1, boulevard Henri Barbusse – Le COMITE DES ŒUVRES SOCIALES, équivalent du Comité d’Entreprise pour les personnels de la Ville de Montreuil, prépare ses futures élections. Le syndicat CGT des Territoriaux a donc décidé, après appel à candidatures, de voter pour la liste à présenter et la désignation de la future tête de liste, en la personne de notre camarade Marie-Lyne VIRAYE.

Á 2 PAS DE LA FAILLITE : 38, boulevard Rouget de Lisle – A 2 PAS, l’enseigne de proximité du groupe Auchan, avait repris il y a un peu plus d’un an l’ancienne supérette « Dia » située derrière La Poste. Aujourd’hui, c’est à un lâchage en règle qu’assistent les 8 salariés avec des rayons vides, une absence totale de communication et une inquiétude croissante quant à la paye de mars. Domicilié avenue Marceau dans le 8ème arrondissement, le gérant de MONTREUIL DISTRIBUTION affiche déjà sa spécialisation : liquidateur.

L’ÉGALITÉ PAR-DESSUS LA JAMBE : 3, rue Franklin – A l’AFPA, c’est à une parodie de négociation sur l’égalité femmes/hommes que les organisations syndicales avaient été invitées par la direction. Un projet d’accord, sans analyse des écarts ni enveloppe financière : unies contre ce mépris, les organisations CGT, CFDT, FO et SUD ont donc claqué la porte, exigeant une prise en compte sérieuse de l’absence d’accord sur ce sujet à l’AFPA depuis juin 2016.

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