Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Février 2017  N°257

« La grille républicaine ? 500€ : assisté – 5000€ : assistante »

LE NON DE TILLEMONT : 87, rue Lenain de Tillemont – Au COLLEGE éponyme, les enseignants étaient en grève jeudi 2 février contre le retrait des heures dédiées à l’éducation prioritaire renforcée qui permettaient de faire travailler les élèves en demi-groupes, et contre la suppression d’une classe de 4ème. La réponse de l’Education Nationale consistant à « donner moins à ceux qui ont moins », les syndicats dont la CGT Educ’Action inviteront le 20 février prochain à une réunion d’information à l’Espace 40.

 

 

PREMIER TOUR : 3, rue de Vincennes – Au siège d’EUROPE ECOLOGIE LES VERTS le personnel était appelé le 31 janvier à renouveler ses délégué-e-s. Avec 10 voix sur 14, les listes CGT sont élues du premier coup… par 100% des exprimés. Félicitations donc à Marjorie et Géraldine, les deux élues qui obtiennent ce score qu’on n’ose qualifier de … stalinien.

CRÉATIONNISME : 216, rue de Rosny – TÉ-CREATEUR D’INSTANTS est le nom de l’entreprise d’insertion du groupe SOS, spécialisé comme traiteur avec 80 salariés sur l’usine de Montreuil. Il n’y manquait rien… sauf une section syndicale ! La CGT vient d’y remédier en en créant une, par la désignation de notre camarade Ali BELKESSA comme délégué syndical.

ETIQUETTE CONFIRMÉE : 59, rue de Vincennes – Aux PAPILLONS BLANCS DE VINCENNES, établissement spécialisé pour l’adaptation des personnes handicapées, les élues CGT de 2015 avaient été classées « sans étiquette ». Erreur réparée avec la désignation de notre camarade Giulia TRAN comme déléguée syndicale CGT, avec déjà un cahier de revendications bien chargé quant à la salubrité des locaux.

REVOYURE : 7, rue Gutenberg – Chez GUARD INDUSTRIES, la négociation annuelle sur les salaires avait tourné court fin 2016 avec un procès-verbal de désaccord, la direction ne daignant accorder que le « pont » du 14 août et se disant « contrainte de reporter d’éventuelles hausses de salaire à la fin du 1er trimestre 2017 ». Pour la délégation CGT constituée pour la négociation, une telle déclaration ne saurait s’analyser que comme un engagement de revoyure, sauf à imaginer que l’employeur ne cherchait qu’à jouer la montre…

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