Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Mai 2016  N° 234

« Class War : le pire contre-attaque !»

CE QU’IL NOUS PLAÎT : place Hannah Arendt – Le barbecue de l’UL-CGT, qui a réuni une centaine de participants le 1er mai, était placé sous les auspices de la mobilisation contre la loi Travail. Avec la manifestation unitaire le même jour, les visites aux politiques dans la semaine et de très nombreuses autres actions et grèves en perspective, jusqu’au retrait d’un texte ni amendable, ni négociable. C’est dire si l’appétit était au rendez-vous !

CONTRE LES DÉCRÊCHEURS : 13, place du Général de Gaulle – A l’AFPA, le déménagement en cours signe l’arrêt de mort de la crèche d’entreprise qui existait depuis 1966. Le 3 mai, la délégation CGT au C.E. rendait un avis très négatif sur cette fermeture, tandis que le CHSCT exigeait des alternatives pour les parents et un suivi du reclassement pour les salarié-e-s de la crèche. Mercredi 11, une fête de la crèche sera organisée par le C.E. à la Noue.

SORTIE DE GARAGE : 2, boulevard Chanzy – La SEMIMO avait repris depuis octobre dernier les agents d’exploitation des parcs EFFIA STATIONNEMENT de Montreuil. Une intégration rendue délicate par le fait que ces salariés, auparavant régis par la convention collective des garages, se retrouvent basculés dans une société immobilière. La CGT vient donc de désigner notre camarade Abdou KANE pour engager la négociation sur la transposition des garanties collectives acquises au sein de la SEMIMO.

SEMI FERMETURE : 67-69, avenue Pasteur – Chez SEMI-FERMETURES, fabricant de rideaux métalliques, l’enseigne prend tout son sens. Moins d’un an après les premiers licenciements dans le cadre d’un redressement judiciaire, patron et mandataire annoncent de nouvelles procédures de suppression de postes visant 4 salariés, « afin d’ajuster les charges au chiffre d’affaires réalisé et prévisionnel ». Il est vrai que le résultat d’exploitation est, lui, en hausse !

BONS RÉSULTATS, BON POUR UN P.S.E. : 59, rue de la République – BNP-PARIBAS a décliné le 3 mai un nouveau « plan de sauvegarde de l’emploi » impactant 602 emplois, alors qu’au 1er trimestre 2016, le résultat net de la banque progresse de 10,1%. La CGT qui refuse de signer un accord de méthode, exige avec d’autres organisations syndicales une expertise au niveau du CCE et du CHSCT sur ce PSE dont le détail reste couvert… par le secret bancaire.

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