Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Début Février 2016  N° 224

« Dégressivité de la précarité, pas des allocations chômage !  »

UN 2ème TOUR APRÈS LES PRIMAIRES ? : 59, rue de la République – Chez BNP PARIBAS, la CGT exige la vérité sur l’annonce d’une possible seconde amende américaine de 4,5 milliards de dollars en 2019. Le 3 février, c’est la presse belge qui lançait le « scoop » : aussitôt, la CGT contactait les autres organisations syndicales pour un rendez-vous unitaire avec la direction de la banque qui n’a peut-être rien à déclarer à la justice américaine, mais devra s’expliquer sur l’impact social d’un tel risque.

FEUILLETON FORMATEUR : 274, rue de Rosny – LP ART avait fait de la résistance en 2015 à la loi du 17 août fixant les nouvelles règles de la formation syndicale. Ne parvenant pas à se faire payer leur congé de formation syndicale, Lionel, Mostafa et Chun saisissaient le Conseil de Prud’hommes quand, à la veille de l’audience, l’employeur se décidait à rétablir leurs salaires… Trop tard, ont estimé les juges, qui le 2 de ce mois, condamnent LP ART à rectifier en outre les bulletins de paie et à 300€ par camarade pour les frais de justice.

TPE, T’ES PAS EXCLU-E : 24, rue de Paris – L’UL-CGT vient de lancer sa campagne d’information-syndicalisation en direction des salarié-e-s des TPE (Très Petites Entreprises, soit celles comptant moins de 11 salariés). A Montreuil, elles sont 2000, employant une majorité de femmes, auxquelles s’ajoutent les salariées, de particuliers employeurs. Fin 2016, elles et ils voteront pour choisir des représentant-e-s régionaux, sur liste syndicale. La CGT vient de leur dédier un site : www.tpe.cgt.fr.

LE LOUEUR EST RADIN : 283, rue de Rosny – Chez STRICHER la location de véhicule utilitaire a beau être florissante, les négociations annuelles obligatoires patinent. A ce jour, la CGT qui réclamait 4% sur les salaires, récolte un petit 1% et la prise en charge par l’entreprise de la journée de solidarité 2016. Obéré par une CFTC béni oui-oui, le rapport de force n’ouvre guère de marges de manœuvre pour aller plus loin, selon la CGT.

DANS LE PÉTRIN : 66, rue Edouard Vaillant – La BOULANGERIE TANZITI semble décidée – pour d’obscures raisons – à se débarrasser de Madame F., vendeuse appréciée de la clientèle. D’abord convoquée… pour une rupture conventionnelle non sollicitée, elle est mise à pied sans que le premier entretien n’ait eu lieu, puis re-convoquée pour un licenciement, dans un cabinet comptable, pour le 1er février. Défendue par la CGT, elle actera à nouveau l’échec juridique d’une procédure à l’évidence….bâtarde.

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