Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Janvier 2016  N° 223

« Avec les pneus Goodyear, la justice déjante, les salaires se dégonflent et l’emploi crève »

ATTENTION LIVRE ROUGE : 6, place du Marché – C’est au CHINOIS que le député R. Hammadi présentait ses vœux le 27 janvier. Afin de lui rappeler que le Code du Travail n’est pas à jeter aux orties, les militants de l’LUL-CGT de Montreuil et de Bagnolet ont accueilli, tracts en main, les convives du député auquel un gros livre rouge a été remis. Avec cette recommandation : « Monsieur le Député, arrêtez de voter la régression sociale ». L’intéressé n’a bien sûr pas répondu, mais ses invités – souvent intéressés par le tract – ont bien apprécié.

EN ORDRE DE BATAILLE : 13, place du Général de Gaulle – Alors que l’AFPA est désormais en première ligne pour le plan de formation gouvernemental à destination de 500 000 chômeurs, la CGT se mobilise pour s’adapter à cet enjeu. Aussi, l’AG de syndiqué-e-s du 21 janvier au siège a-t-elle porté à 4 le nombre de ses délégués syndicaux, avec la désignation de nos camarades Jocelyne HEMERAY, Dominique BILCOCQ, Abder BOUALI (siège local) et Farid AZOUZI (itinérants).

ALERTE AUX ROBINSONS : 49, rue Raspail – Aux NOUVEAUX ROBINSONS, le déni semble la seule réponse de la direction, confrontée à la dénonciation des dérives de l’encadrement. C’est ainsi qu’à une plainte d’une employée, il est répondu que la direction « missionne les membres du CHSCT pour vous convaincre de l’absence de harcèlement moral ». Etrange mission qui a, en revanche, su convaincre la CGT et l’intéressée de la nécessité de déclencher un droit d’alerte des DP pour obtenir une enquête sérieuse.

ENCORE LE MAUVAIS OEIL : 105, boulevard de Chanzy – Chez INTERLOGEMENT 93, la vidéosurveillance des lieux de travail a été retirée par la direction, laquelle, vexée de la mobilisation, accuse les élus de « manipuler les foules avec de fausses vérités ». Pourtant, le 26 janvier, ce n’est pas une fausse vérité, mais la violente prise à partie d’un chef de service par le directeur qui a provoqué un débrayage du personnel présent… malgré l’absence de caméras.

GOUTTE Á GOUTTE : 11, rue Georges Méliès – Le FOYER ALEXANDRE GLASBERG accepte mal ses condamnations aux prud’hommes. Renonçant à faire appel, il finit par envoyer les chèques à chacune des 2 ex-salariées… mais omet de leur payer les frais de justice. Après réclamation, un deuxième chèque est arrivé… encore incomplet. Pour le troisième, réclamé par la CGT, on craint cette fois pour l’arrondi !

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