Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Janvier 2016  N° 222

« Le chiffre en bas… c’est mon salaire ou le numéro de la page ? »

DECAUX, DES SOUS : 16, rue Emile Zola – Chez JC DECAUX, il aura fallu ce mois de janvier 40% de grévistes le 13 et de nouvelles AG du personnel le 21 pour que la NAO aboutisse, provisoirement, sur une augmentation générale de 1%, une prime de profit de 250€ et une majoration du remboursement des frais professionnels. Mais pour la CGT, le compte n’y est toujours pas, qui réclame un « coup de pouce » de 4% et l’abandon du projet de géo localisation des itinérants.

QUI VEUT HACHER LE BŒUF ? : 236, rue Etienne Marcel – Au BŒUF A SIX PATTES, l’endettement du groupe FLO, propriétaire du restaurant de la Grande Porte, fait craindre le pire à la section CGT. Même démenties en réunion avec les DP, les rumeurs vont bon train, dont celle d’une revente de l’enseigne au concurrent de MacDonald (Burger King), situé juste à côté. S’ils veulent l’hambur-guerre…

ÉTRANGE COACHING : 20, avenue Gabriel Péri – Chez SMBG, cabinet montreuillois d’orientation et de coaching, les méthodes vis-à-vis des salarié-e-s les préparent davantage aux prétoires qu’à l’entrée aux grandes écoles. C’est ainsi qu’au terme d’une longue procédure (4 ans), notre camarade Agnès M. vient de faire condamner en appel son ancien employeur SMBG, pour harcèlement moral.

MAUVAIS DEAL : 177, avenue du Président Salvador Allende – Chez DEAL ELEC les retards de cotisations à l’URSSAF et à PRO-BTP avaient conduit les délégués à accepter un décalage du versement des salaires en milieu de mois et à la monétarisation des JRTT. Une aubaine pour l’employeur qui, non content de racheter une entreprise à Laon, entend retarder d’un mois le virement des payes. Un abus qu’entend dénoncer notre camarade Jean NGANGWA, délégué CGT, en mettant un terme à ce marché de dupe.

SAS SUFFIT : 240, rue de Rosny – TESSI CHEQUES ILE-DE-FRANCE et ICSB ont des métiers et conventions collectives différentes, mais un même patron, une direction commune et des locaux partagés. C’est dire si les 2 sections CGT n’ont rien contre un rapprochement des 2 sociétés au mieux-disant social ! A l’inverse, la direction propose un « sas commun » pour entasser les salariés TESSI et ICSB, malgré l’avis défavorable des DP : un mépris de la représentation du personnel que la CGT condamne dans un premier temps auprès du siège du groupe, basé à Grenoble.

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