Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Début Octobre 2014 N° 176
« Ils servent à rien, ils nous coûtent cher : licencions les actionnaires »
COS TOUJOURS : 1, boulevard Barbusse – Actifs et retraités de la MAIRIE DE MONTREUIL étaient appelés mardi 30 septembre à choisir les nouveaux élus du COS (le Comité des Œuvres Sociales) avec 3 listes syndicales en présence. Sur 1237 exprimées, la CGT obtient 768 voix (62,1%) et 9 élus sur 13 ; la FSU 317 voix (25,6%) et la CFDT 152 voix (12,3%). Un démenti cinglant est donc apporté par les territoriaux aux tentatives de salir la gestion CGT et d’éloigner les personnels de cet outil collectif.
TROP FORT LA CGT : 1, boulevard Théophile Sueur – Au FORT DE ROSNY, les civils du Ministère de la Défense viennent de voir aboutir leur vieille revendication d’une réévaluation des frais de déplacement, qui passent au 1er octobre de 60 euros la nuitée, à 70 voire 75 selon leur nombre. Par contre, l’indemnité repas reste désespérément plafonnée à 15,25 euros. Deuxième succès pour la CGT Défense : la Cour Européenne des Droits de l’Homme vient de condamner la France à autoriser la syndicalisation des militaires.
OÙ VA L’INFL ? : 12-16, rue de Vincennes – A l’INSTITUT NATIONAL DE FORMATION DE LA LIBRAIRIE, le personnel s’inquiète du conflit latent opposant la direction au nouveau conseil d’administration. Dans un secteur où la précarité des formateurs est la règle, les élus CGT demandent à être reçus par le C.A. pour explication. Dans l’attente, c’est notre camarade David DEVERMELLE qui vient d’être désigné délégué syndical.
ENSEMBLE, C’EST TOUT ! : 27, rue Douy Delcupe – Chez NEUFTEX, entreprise de textile comptant prés de 300 salariés, le syndicalisme rassemblé progresse à la veille des élections professionnelles. Après le forfait d’un éphémère représentant CFDT, c’est la section FO qui décide de s’auto-dissoudre pour rejoindre le syndicat CGT. Sans préjuger du vote des salariés, la représentativité de la CGT devrait donc s’établir à 100% : détail des résultats à suivre dans « Je, Tu, UL ».
LA LIBERTÉ MIEUX QUE LA BEAUTÉ : 6, boulevard Chanzy – Au PALAIS DE LA BEAUTE, salon de coiffure situé à la sortie du métro Croix de Chavaux, Madame ZHENG LI avait été arrêtée sur son lieu de travail pour la 3ème fois le 20/09 et placée en rétention pour défaut de titre de séjour, son employeur ne l’ayant jamais déclarée. RESF et la CGT intervenaient alors pour sa libération en vue d’une régularisation. Une première étape était franchie ce vendredi 3 octobre : l’administration décidait enfin de la relâcher.
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