Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Début Mai 2014 N° 165
« En mai, revendique ce qu’il te plaît ! »
BARBECUE PLUVIEUX, 1er MAI NOMBREUX : rue Victor Hugo – C’est le parking situé derrière la Mairie qui accueillait cette année le barbecue de la CGT, avec une centaine de participants… qui n’ont pas eu peur de se mouiller ! Puis, de Bastille à Nation, la manifestation unitaire aura réuni à Paris 65 000 opposants aux politiques « austéritaires », dont de très nombreux salariés des entreprises de Montreuil.
ESPOIR PRUDENT CHEZ QUINETTE : 240, rue de Rosny – Alors que 2 repreneurs restent en lice pour éviter la liquidation du fabricant de fauteuils – le japonais KOTOBUKI et la société CONTINO – les élus du personnel ont mis en place un comité central d’entreprise pour solidariser le siège montreuillois avec l’établissement secondaire de Mussidan. Dans la foulée, la CGT a validé la prorogation des mandats jusqu’en février 2015.
A FOND L’AFUL : 263, rue de Paris – Le personnel de l’AFUL, structure gestionnaire du complexe confédéral, renouvelait le 30 avril ses délégués. Malgré quelques manœuvres, les listes CGT reprennent le contrôle du Comité d’Entreprise, avec 31 votes valablement exprimés au 1er tour : un excellent résultat qui a incité notre camarade Eric DUVAL à adresser une mise en garde à la direction, au cas où celle-ci s’aviserait de contester la validité des P.V.
LA DÉROUTE DES COMPTOIRS : 11, rue des Grandes Cultures – LA ROUTE DES COMPTOIRS, entreprise montreuilloise de thés, avait annoncé le mois dernier à ses 7 salariés sa délocalisation vers Nantes. Unanimes, les 7 salariés viennent de refuser de prendre la route, obligeant l’employeur à engager 7 procédures de licenciement économique. En 2012, ils avaient réclamé en vain la tenue d’élections professionnelles, le patron arguant du nombre insuffisant d’employés.
PROTÉGÉS OU CIBLÉS ? : 24, rue de Paris – L’Union Locale CGT de Montreuil s’inquiète de la recrudescence des demandes de licenciement dirigées contre les élus et mandatés de la CGT en ce mois de mai, assorties de mises à pied conservatoires. C’est le sort que subissent aujourd’hui, par exemple, nos camarades Fatou SOUMAHORO (Pharmacie Braud-Hamdan), Boris MILISAVLJEVIC (CIDEFE) et Dominique GRANGER (Solidar’Monde). Des situations inadmissibles sur lesquelles nous reviendrons dans les prochains numéros de « Je, Tu, UL ».
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