Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Fin Février 2014  N° 158

« Un million de retraités en moins = un million de chômeurs en plus »

TANT VA LA CRÈCHE Á L’EAU: 79, rue Emile Beaufils – Situation explosive à la Crèche Municipale Julie Daubié où, faute de remplaçantes, on dénombre 14 absences sur 23 agents. Un préavis de grève a été déposé pour le 26 février dans les crèches par le syndicat CGT des territoriaux, exigeant des recrutements immédiats, le renforcement du pool de remplaçantes et une réunion en urgence sur les conditions de travail et de sécurité.

LES 4% DE L’AFPA: 13, place du Général de Gaulle – A l’AFPA, la CGT a calculé que la gabegie des 15 millions d’euros dépensés pour le bail de la T9 (ancienne tour URSSAF) représentait l’équivalent de 4% d’augmentation générale des salaires. Confortée par les dernières élections, la CGT exige donc un rattrapage de salaire de 4% minimum et rappelle que l’accord Egalité professionnelle de l’entreprise prévoit la suppression, avant l’été, des écarts salariaux femmes-hommes pour les agents classés dans les niveaux 1 à 8. Le 20 février, face au blocage de la NAO par la direction, les organisations syndicales ont dû claquer la porte.

POTION AMÉRE: 1, avenue de La Résistance – La pharmacie BRAUD et HAMDAN ne prend pas de gants pour pousser dehors celles et ceux qu’elle juge en sureffectif. Il est vrai qu’avec plus de 10 salariés, elle aurait dû mettre en place des délégués du personnel… et s’en est bien gardée. Une situation à laquelle notre camarade Fatou SOUMAHORO a décidé de mettre un terme au nom de la section CGT en formation, avec une demande de tenue des élections.

OXYGÈNE, STAR DES PRUD’HOMMES: 63 bis, rue Ernest Savart – La SARL OXYGENE 93 a une nouvelle fois été condamnée aux prud’hommes de Bobigny, pour le licenciement économique… sans préavis ni indemnité, d’une auxiliaire de vie, notre camarade Fanny MBOULE. Mardi prochain, ce sera le tour de 4 autres de ses anciennes collègues de passer devant le bureau de jugement pour des salaires impayés : à croire que cette entreprise de service à la personne a pris un abonnement aux tribunaux !

FASHION VICTIMES: 5, rue du Marais – Pour les ex-salarié-e-s de DAVID FILS, entreprise de confection liquidée fin 2013, les préavis de licenciement expiraient le 6 février. Le mandataire judiciaire vient d’informer par courrier la vingtaine de licenciés que la garantie sur leurs salaires était « suspendue » à l’enquête pour malversations engagée contre les actionnaires, la famille TU (c’est son nom !). La CGT entend regrouper les victimes… de la famille et de l’enquête pour rétablir les petites mains dans leurs droits sans tarder.

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