118, rue de Paris – A l’EPHPAD de la FONDATION DE ROTHSCHILD, le sous-effectif s’aggrave, mais la direction poursuit sa chasse aux professionnels les plus diplômés. Trop « chers » et CGTistes à son goût. Après le refus par l’inspection du travail d’autoriser le licenciement de notre camarade Mamadou KEBE, délégué syndical et infirmier, ce sont maintenant les anciens grévistes qui subissent la pression et les non-renouvellements des contrats. Quant à notre camarade Ana-Maria BALMUS, dans une alerte à la direction, elle recense 3 sanctions lourdes engagées à son encontre puis abandonnées, 2 arrêts-maladie consécutifs aux agissements de sa responsable et d’importantes restrictions apportées à son engagement
professionnel. Pour les familles de résident-e-s, la seule garantie pour les vieux parents, c’est le personnel syndiqué et persécuté.

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