Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Début Janvier 2013 N° 116
« Soigner les retraites, ce n’est pas les mettre au régime ! »
ACTION ! : 7, avenue de La Résistance – Au cinéma Méliès, le personnel ne supporte plus les méthodes et le climat délétère, conséquences des accusations de la Municipalité sur de prétendus détournements de fonds. Les 3 agents suspendus depuis plus d’un mois « pour enquête » pourraient bien le rester longtemps, puisque leur remplacement est déjà prévu pour 3 mois. La section CGT du cinéma a donc déposé un préavis de grève pour que cesse ce déni de justice et le syndicat des territoriaux lance une collecte de solidarité pour leurs pertes de salaire.
EN ATTENDANT LA GALETTE : 22, rue de Lagny – A l’URSSAF, la CGT résume ainsi la proposition salariale de la direction : « vous n’aurez, en 2013, ni le pain ni la brioche ». Face à l’intransigeance de la tutelle, un appel à la grève unitaire pour le 7 février a été lancé pour inverser 8 années de restrictions budgétaires et de dégradation des conditions de travail. Car pour couronner le tout, la fusion de l’URSSAF « parisienne » avec celle de Seine et Marne, entraîne depuis le 1er janvier 2013, la fin des accords collectifs et des mandats antérieurs.
ERRARE HUMANIS EST : 93, rue Marceau – La direction du groupe HUMANIS convoquait, le 7 janvier, les organisations syndicales pour négocier le protocole pré-électoral de l’UES constituée de Novalis-Taitbout, Vauban et Aprionis. Or, d’une, en l’absence d’accord unanime des syndicats, l’UES ne pouvait être le bon périmètre de négociation. De deux, plus fort encore : le signataire pour la partie patronale, M. VANORP, vient d’être viré ! La négociation devra donc être remise faute de gouvernance certaine au sein du groupe !
LISTE OUVERTE CHEZ EMMAÜS : 47, avenue de la Résistance – La mise en place d’un Comité d’Entreprise est désormais à l’ordre du jour chez EMMAÜS-FRANCE. Après l’organisation conjointe d’une information syndicale le 8 janvier au sein de l’Association, une liste intersyndicale a été déposée avec, pour la CG,T notre camarade Aurore LATTARI-CHEVALIER et des représentants FO, CFDT et Solidaires. Tous d’accord pour construire des garanties collectives, là où aujourd’hui encore, aucune convention ne trouve à s’appliquer.
FILS Á RETORDRE : 5, rue du Marais – Les sociétés de confection DAVID FILS et A PART ÇA attaquaient la CGT, ce 8 janvier, devant le Tribunal d’Instance de Montreuil, pour avoir voulu faire reconnaître notre camarade Christine DA CUNHA comme demandeuse d’élections pour les 2 sociétés et représentante de la section CGT. Interrogées par le Président, les sociétés ont fini par reconnaître à la barre : l’unité des 2 sociétés, le droit de la CGT à former une section et l’urgence à agir. Conclusion : on a attaqué la CGT… mais c’est parce qu’elle avait raison. Le Président appréciera !
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