Le 53e Congrès de la CGT s’est achevé au cœur d’un bras de fer entre le monde du travail et un pouvoir arcbouté sur « sa » réforme des retraites, majoritairement vomie par le pays. Avec la mobilisation du 6 avril, l’intersyndicale conserve la main dans un rapport de forces où le déni de démocratie, la mise en visibilité des violences policières et la poursuite des blocages, placent Macron face à son irresponsabilité.
A l’inverse, la presse de Bolloré qui spéculait sur une mythique « guerres des chef-fe-s » à la CGT, voire sur le retour à la division syndicale, en sont pour leurs frais.
La bataille pour le retrait des contre-réformes Macron va se poursuivre et redoubler avec une direction syndicale renouvelée à la CGT, une secrétaire générale – Sophie Binet – issue de notre département et une feuille de route (le document d’orientation) pour 3 ans.

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