Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt   Je, Tu, UL…  Mi Juillet 2010  N° 55

«Réforme des retraites : la mort aux trousses ?  »

FÊTE NATIONALE CHEZ MANPOWER: 57, boulevard Rouget de l’Isle – Prés de 500 Montreuillois sont venus danser ce 13 juillet au soir devant l’agence Manpower toujours occupée : il est vrai que la direction se hâte lentement pour concrétiser la remise des « cerfa » (promesses d’embauche), contraignant les intérimaires grévistes à maintenir la pression… jusqu’à la dernière minute. Détail non négligeable : 592,80 euros ont été récoltés à l’occasion de ce bal pour la caisse de grève.

PAPILLONS ROUGES: 84, rue Kléber – L’IME Bernadette Coursol géré par l’Association Les Papillons Blancs renouvelait ses déléguées du personnel. La liste CGT conduite par notre camarade Dominique GAMBIN recueille 36 voix sur 36 pour 48 électeurs inscrits et obtient du même coup… les 4 sièges à pourvoir !

EXELL DANS L’ESCROQUERIE ! : 14, rue de la Beaune – EXELL MEDIA a cessé de répondre à ses employées, privées de salaire depuis 8 mois : un comble pour un centre d’appels ! C’était compter sans la pugnacité des jeunes « téléactrices » et autres « assistants télémarketing » qui, avec la CGT, ont saisi le Procureur de la République, le Conseil de Prud’hommes et le Tribunal de Commerce. Nadia MENAD a été élue représentante des salariées suite au placement de la société en liquidation judiciaire.

LA CNL AUTOMTISE : 8, rue Mériel – Le personnel de la CNL a le tort de trop somatiser les conditions de travail, régulièrement dénoncées par la CGT. Sanction immédiate par l’employeur : à compter du 19 juillet « le contrôle sera effectué automatiquement par une badgeuse » avec une prime de 1,50 euro par jour d’assiduité… En matière d’assiduité, la direction de l’association s’illustre dans la chasse aux malades. Mieux vaut être riche et bien portant… que pauvre et harcelé !

DÉPRIME CHEZ EPOXY : 2, avenue Salvador Allende – Au local 19 de Mozinor, la réunion des délégués fixée en juillet risque de tourner au monologue. Le patron entend apporter une réponse catégorique à la question qu’il a lui-même soulevée : suppression des primes. Alors que les heures supplémentaires se multiplient, Jacques MASSENGO pour la CGT a une autre interrogation : 3 ans sans un jour de grève, est-ce trop long pour cette PME métallurgique ?

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