Étudier, c’est travailler
    pour la retraite, ça doit compter

 


GÉNÉRAL ET PARTICULIER : 263, rue de Paris – L’UL-CGT de Montreuil tenait son Comité Général les 13 et 14 février, au siège de la confédération. Pour les 70 délégués réunis pendant 2 jours, mobilisations et grèves sont à l’ordre du jour jusqu’au retrait du projet Macron ; depuis décembre, à Montreuil, ce sont 71 entreprises privées ou publiques qui ont connu des actions grévistes. La victoire est à portée de main ! Trois nouvelles camarades sont par ailleurs élues pour renforcer la Commission Exécutive de l’UL : Marie-Christine COULIBALY, Elisabeth TREMAUD et Muriel WOLFERS.

CALOMNIAVIRUS : 8, rue de Rosny – La CCAS des industries électriques et gazières a encore dû répondre aux fausses informations distillées par l’hebdomadaire d’extrême-droite « Valeurs Actuelles » qui, dans son édition du 12 février, prétendait dénoncer « le refus de la CGT de mettre à disposition l’un de ses 15 châteaux » (sic) pour les rapatriés de Wuhan. Premier gros mensonge, la CGT n’a pas l’ombre d’un château, mais dirige le CSE des électriciens-gaziers, lequel gère plusieurs centres de vacance. En second lieu, sollicitée par Matignon, le CCAS n’a opposé aucun refus à un éventuel accueil, mais s’est étonnée d’être passée de « criminels [pour les coupures d’énergie liées à la grève] à indispensables à la République ».

DRÔLE D’OISEAU : 2, avenue du Professeur Lemierre – L’HÔTEL IBIS de la Porte de Montreuil préfère les militants CGT comme clients… que comme élus du CSE. C’est ce que révèlent les élections du personnel, où notre camarade Stéphane GUILLEMARD a dû faire campagne sans affichage, ni résultats du 1er tour… avant son élection au 2nd tour que l’employeur n’a pu empêcher.

CASINO JOUE AU MONOPOLY : 15, place du Général de Gaulle – Le LEADER PRICE était en grève le 3 février dernier, pour protester contre le règlement partiel de leur salaire par une « holding FPLP », jusqu’ici inconnue. La section CGT réclamait en outre des informations sur la cession du magasin à CASINO, qui le revend à ALDI. Venue négocier sur place, la direction du groupe CASINO proposait alors une NAO, à peine 3 mois après la clôture de celle de 2019 ; manœuvre rejetée par les élus CGT… qui attendent ALDI de pied ferme.

ACCORD AUX POINTS : 24, boulevard Paul Vaillant-Couturier – Chez RUES ET CITES, on s’achemine vers un nouvel accord d’entreprise sur les séjours éducatifs de prévention. La CGT obtient des points conventionnels supplémentaires (donc des gains salariaux) pour les transferts, l’encadrement, les dimanches et les nuits, avec un dispositif de vérification des horaires et un contingentement du nombre de jeunes par séjour. Sous réserve de quelques améliorations du texte, la section CGT se dit prête à signer, n’en déplaise à une direction habituée à la présenter comme le diable.

UNE CGT D’APLOMB : 12, rue de Vincennes – Le groupe APLON avait fait durer le plaisir avant d’organiser les élections CSE obligatoires. Le 6 février, c’est un résultat sans appel qui a été proclamé avec 53,6% pour la CGT, 25% pour la CFDT et 21,4% pour la CFTC. Parmi les formateurs, le score de la CGT atteint 88,2% et c’est donc sans suspens que notre camarade Vanessa CHAUVET est renouvelée comme déléguée syndicale…

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