Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris

logo_cgt     Je, Tu, UL… Fin Septembre 2007   N° 1

« C’est arrivé près de chez vous »

EPOXY, INJURES NON ! : Avenue Salvador Allende, chez Montreuil-Epoxy à Mozinor, c’est à coup de « Gonzesses ! Maniez-vous le cul ! » que le manager manage… La CGT n’a pas laissé dire : après 2 heures de grève le 18/09, les salariés obtiennent le retrait des sanctions et 3% d’augmentation sur les salaires au 1er décembre qui s’ajouteront aux 3% du début 2007.

DES MIETTES CHEZ TZF : Rue Gutenberg – La direction a du prendre ses coursiers et chauffeurs pour des pigeons… voyageurs. Elle propose 1% d’augmentation sur les « bas salaires » (où sont les hauts ?) et 2% si les résultats de TZF dépassent 90000€. CGT et CFDT ont constaté le désaccord !

CIRCULATION DANGEREUSE : Rue Erignac – La ville bouge ! Et les salariés de la BNP et du Ministère des Finances grognent : depuis 1 an et demi la rue Erignac est en travaux : chaussées et trottoirs défoncés, signalisation routière aléatoire, circulation difficile. Annie BERNARD, militante CGT à la BNP, soutenue par l’Union Locale a écrit au Maire pour demander une intervention rapide. A suivre…

LA DIRECTION DU FOYER GLASBERG AURAIT-ELLE LES OREILLES BOUCHEES ?: Rue Georges Méliès – Malgré plusieurs courriers de la CGT réclamant l’ouverture de négociation sur la nouvelle organisation du travail, conformément à l’article L. 132-8, le directeur fait la sourde oreille. L’union Locale a désigné Charlotte BOKWANGO BONYEME pour briser le mur du silence !

HORTEFEUX NOUS LES CHAUFFE ! : L’UL-CGT s’associera au rassemblement contre les lois visant le droit à la famille pour les travailleurs immigrés, le 26/09 devant la Mairie de Montreuil

LES JEUX DE PEKIN ? : Rue de Lagny – au 44, chez BEAUMAT et RACKHAM, on dessinait, peignait et fondait des figurines en plomb vendues à prix d’or à travers le monde. Mais pour le patron, mieux vaut fabriquer en Chine des figurines en plastique que fondre à Montreuil des jouets en plomb. Bilan : 48 licenciements ! Quant à son argent, les licenciés ne risquent pas de le faire fondre : c’est l’UNEDIC qui devra payer la note de la délocalisation « environnementale »

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