Je, Tu, UL… Mi-Février 2019 N°323
« Les capitalistes vivent au-dessus de nos moyens»
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L’AFPA EN DIRECCTE : 3, rue Franklin – Les représentants du personnel de l’AFPA étaient reçus le 5 février – avant la manifestation – à la DIRECCTE 93, sur le projet de restructuration et de licenciements collectifs soumis à homologation par la Direction. Un projet qui pourrait bien être retoqué selon la CGT, au regard du flou entourant les catégories professionnelles concernées en l’absence de fiches emploi, et en raison de la précipitation bafouant les délais de discussion. A l’inverse, la CGT s’inquiète des tentatives de certains de vouloir signer un accord de méthode qui faciliterait les desseins de l’employeur.
LES CHÔMEURS S’ORGANISENT : 24, rue de Paris – Le COMITE CGT DES CHÔMEURS ET PRECAIRES conviait, jeudi 14 au soir, à une réunion publique sur les mauvais coups portés à l’assurance-chômage. Une réunion qui aura permis la rencontre entre chômeurs de Montreuil et syndiqués CGT de l’agence Pôle-Emploi ; avec une feuille de route commune contre les radiations abusives, un mail dédié : alerteradiation@cgt.fr et un calendrier d’actions concrètes.
PROTESTATAIRES OU PROTESTANTS ?: 88, rue Robespierre – Au CENTRE D’ACTION SOCIALE PROTESTANTE (CASP), une troisième organisation syndicale vient de voir le jour, avec la désignation de notre camarade Antoine DOS SANTOS en qualité de représentant de la section syndicale CGT. Ce 16 février, la direction est même invitée à porter cette désignation à la connaissance des 500 salariés que compte l’association.
NÉG(OCI)ATION ANNUELLE : 19, avenue de la Résistance – Chez MONOPRIX, après le gavage des actionnaires (587 millions d’euros), il ne reste plus à négocier… que le déni des besoins du personnel. Hormis la prime Macron, à hauteur de 200 euros, la direction propose 1% pour les seuls employés et un saupoudrage de mesures catégorielles et individuelles pour les promotions. La CGT réagit à cette distribution de miettes conçue pour diviser les salariés, par cette maxime : « Tant que mon patron fera semblant de bien me payer, je ferai semblant de bien travailler ».
DRÔLE DE SORORITÉ : 259-261, rue de Paris – L’ASSOCIATION SŒUR EMMANUELLE (ASMAE) va organiser l’élection prochaine du CSE de son siège montreuillois, en parallèle avec un plan de licenciement collectif pour « motif économique ». Une méthode qui alerte notre camarade Christophe JIBARD, représentant CGT du personnel, quand ce site qui ne regroupe qu’un quart de l’effectif salarié est seul tenu responsable de la situation financière de l’ONG.
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