Je, Tu, UL…  Début Janvier 201  N°320

« Vœux 2019 : c’est quand que ça ruisselle ? »

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DÉNONCIATION DÉNONCÉE : 240, rue de Rosny – Chez ICSB (groupe TESSI), la direction aura attendu les fêtes de fin d’année pour dénoncer un accord collectif signé en 2007 par la CGT, fixant le régime des primes, dont le 13ème mois. Dans sa précipitation, ICSB aura même oublié de consulter le Comité d’Entreprise au préalable, se contentant d’une simple ‘information ». La réplique de la CGT ne s’est pas faite attendre qui a rappelé que dans ces conditions, la dénonciation était nulle et de nul effet. En 2019, le 13ème mois restera du à tous les salariés !

PRÉAVIS Á L’AFPA : 3, rue Franklin – A l’AFPA, c’est un préavis de grève couvrant tout le mois de janvier que le syndicat CGT a déposé. En cause, une nouvelle fois, l’abandon des formations longues et qualifiantes, la fermeture de plusieurs sites et services associés… et la revendication de l’embauche de formateurs en nombre suffisant pour répondre aux besoins de formation des citoyens. Une interpellation des décideurs qui pourra prendre des formes décentralisées tout au long du mois.

MERCURO-CHROME : 87, rue de Paris – L’association CHROME – pour Conseil Ressources Humaines Organisation Management Entreprenariat – fait profession de « cabinet de recrutement »… en oubliant de payer ceux qu’elle a recrutés. C’est la mésaventure qui est arrivé à Célia, embauchée en contrat d’avenir et mise à disposition d’un client de CHROME, et qui réclame son salaire depuis novembre dernier, en vain. Un mutisme qui la conduit à saisir le Conseil de Prud’hommes avec la CGT : une procédure qui a plus d’avenir que son contrat.

SUR LA CORDE : 6, rue Racine – ABSIDE et EPICURE réunissaient ensemble les nouveaux élus des 2 CSE quand la direction s’est aperçu qu’avec les nouveaux textes issus des ordonnances Macron, les élus suppléants étaient mis hors jeu au profit des seuls titulaires. Or, les titulaires CGT étant sur des chantiers dispersés, la direction voudrait que ce soit la camarade suppléante, affectée au siège, qui signe les documents administratifs amiante. Après débat et vérification du Code du Travail, la CGT a donc refusé cette mise à l’écart des titulaires, peu important l’argument des effectifs « tendus » invoqué par l’employeur.

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