Les brèves de l’UL CGT de Montreuil, 24, rue de Paris
Je, Tu, UL… Début Novembre 2013 N° 147
« 60 ans à taux plein : parce que notre travail le vaut bien ! »
TEMPS PLUVIEUX, COMITÉ HEUREUX : 263, rue de Paris – L’UL-CGT réunissait les 7 et 8 novembre son Comité Général, avec 90 délégué-e-s des entreprises montreuilloises. Au menu : discussions animées, renforts pour la direction de l’UL de Célia CAUSSADE, Aurore CHEVALIER, Khamssa RAHMANI, Alessandro VITAGLIANO et Muriel WOLFERS… et travaux pratiques devant la permanence du député pour exiger – dans l’unité – le rejet en 2ème lecture, de la contre-réforme des retraites, aux cris de « Abstention, piège à cons » et « La retraite au Flamby, on n’en veut pas ! ».
MANDATÉES CONTRE MANDATAIRE : 5, rue du Marais – La mise en liquidation judiciaire du groupe de confection DAVID ET FILS est finalement intervenue avec la désignation de Maître JEANNE en qualité de mandataire liquidateur par le Tribunal de Commerce. Les salariés, qui réclamaient leurs salaires devant les prud’hommes, ont donc mandaté à leur tour pour les représenter dans la procédure, nos camarades Peggy BOULLOT pour DAVID ET FILS et Christina DA CUNHA pour A PART ÇA.
LE BŒUF A DEUX DÉLÉGUÉS : 235, rue Etienne Marcel – LE BŒUF A SIX PATTES, restaurant montreuillois du groupe FLO, votait le 8 novembre pour élire ses déléguées du personnel. Seules en lice, malgré les pressions de la direction pour susciter des contre-candidatures maison, nos camarades Angela MBENGA KEUTCHANKEU et Bintou DIALLO ont été élues pour représenter leurs collègues. Félicitations !
ACTIONNAIRES PREMIERS SERVIS : 59, rue de la République – Chez BNP Paribas, la direction entend conclure des N.A.O. de disette avec une petite prime de 1000 euros pour l’intéressement. Or il y a urgence… pour la direction de conclure et d’obtenir une signature avant l’annonce d’un résultat net sur 2013 d’environ 6 milliards et de nouvelles largesses envers les actionnaires. Déjà que la banque s’apprête à empocher quelques dizaines de millions d’euros au titre du CICE : la discussion avec les syndicats pourrait passer pour une farce !
VOUS N’AVEZ ENCORE RIEN U : 4, avenue Paul Signac – BRIANDIS libre-service à l’enseigne « U EXPRESS3 considère la santé des employées comme une affaire privée. Pas de visite médicale d’embauche… ni de visite médicale de reprise après un arrêt-maladie : c’est ainsi que Fatoumata, depuis la fin de son arrêt le 4 novembre, est contrainte de se présenter chaque jour, sans pouvoir reprendre son poste de travail. La CGT, par contre, n’allait pas se priver d’accompagner Fatoumata, pour que sa maladie ne devienne pas… motif à licenciement.
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