22-24, rue de Lagny – La CGT de l’URSSAF s’est emparée du problème de l’endométriose et des règles douloureuses pour réclamer des négociations en vue de la reconnaissance de cette pathologie. Avec un personnel à plus de 70% féminin, la CGT souligne qu’un organisme de sécurité sociale ne peut pas faire moins qu’une chaîne de supermarchés ou certaines mairies qui ont ouvert des droits à absences en réponse à ces souffrances genrées. La lettre envoyée à la direction pour que s’ouvrent ces négociations demeure, à ce jour, sans réponse.
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