19, avenue de la Résistance – A MONOPRIX, la CGT vient d’obtenir du Tribunal Judiciaire de Nanterre la condamnation de l’accord d’entreprise signé par la CFDT et la CFE-CGC qui autorisait le « travail de fin de journée » jusqu’à 22 heures. Les juges ont donc rappelé que la loi appelle travail de nuit ce que Monoprix cherchait à dissimuler comme fin de journée. Même sanction pour le créneau de 6 heures à 7 heures, situé sur la plage nocturne et éligible à ce titre aux majorations pour travail de nuit.

Imprimer

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.