Je, Tu, UL…  Mi-Janvier 2019  N°321

« Pour 2019 : plus de galette et moins de roi »

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CONTRATS DE DÉSINSERTION : 60, rue de la République – C’est du CENTRE JEAN-PIERRE TIMBAUD qu’est partie cette semaine la révolte des stagiaires en « ré-insertion », privées de revenus depuis septembre dernier pour certain-e-s. Alors que l’ASP – opérateur financier de l’Etat – tente de se justifier par un « bug », ils et elles sont prés de 800 à courir après leurs allocations de formation. Pour beaucoup, le décrochage devient la seule issue, avec retour à la case Pôle-Emploi… faute de moyens de subsistance. Soutenu par la direction du centre de rééducation, un collectif CGT des stagiaires s’est constitué pour interpeler l’ASP avec pour slogan : « Elle a bon dos l’insertion promise et la prise en compte du handicap ! ».

VŒUX 2019 : 24, rue de Paris – L’union Locale CGT de Montreuil présentait ses vœux pour 2019, le 9 janvier dans ses locaux. Prés de 200 invités et camarades se pressaient autour du buffet, preuve que la formule des vœux de succès peut aussi être inversée en succès des vœux. Au bilan : de bonnes résolutions syndicales, dans une atmosphère conviviale. (voir photos sur notre site : https://www.lacgtmontreuil.fr/?p=2855)

POSTIERS ENTASSÉS : 44, boulevard Rouget de Lisle – LA POSTE de Montreuil devrait bientôt héberger celle de Vincennes (et de Saint-Mandé) dans ses locaux. Une annonce qui fait réagir notre camarade Arlette SAINT-AVIT : l’entassement des agents dans des locaux déjà trop exigus engendrera une nouvelle dégradation du service postal, à seule fin de permettre au Groupe La Poste de réaliser une juteuse opération immobilière. La CGT et le CHSCT ont aussitôt pris contact avec les collègues du département voisin pour organiser la riposte et mesurer les conséquences sur les tournées des facteurs, notamment dans les quartiers limitrophes.

QUART MACRON : 2, rue de l’Aqueduc – A la CITE MYRIAM, où nos camarades « incitaient » l’ACSC (https://www.lacgtmontreuil.fr/wp-content/uploads/2019/01/Tract-ACSC.pdf), organe gestionnaire, à verser aux salarié-e-s les 1000 euros défiscalisés de la prime macron, la direction annonce un timide geste de 250 euros pour l’ensemble du personnel sur la paie de janvier… soit le quart du montant revendiqué. D’où une notation « peut mieux faire » attribuée par le syndicat à la direction.

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